it I aéosteors et conatillers d'état préienten cette villë «pré* qnol S. A. S.
"It Prince Gouverneur-général ent l'hoqpeur öe présenter i S. M. les fonc
tionniires supérieurs, les autorités de département* Ie Conaeil-eér.éral de
dépattement, le tribunal de premier instance, la cbambre de commerce,
M. Ie Maire avec ses ïdjoints et le Conaeil Municipal, les chefs de la gar.
de d'honneur et dè'Ia gardé nationale et let Ministres des cnltea.
- Le temn qnl avalt été convert toute'la matinée s'est rcalntenü et cc n'eti
- qn'apris que S.'M. était arrivée «u palaisque la pluie a commence*
Le soir tonte la ville a été illnminée.
AMSTERDAM le Pd Octobre. Ce matin, S. M. l'Empereor. s'est em-
barqué dans une cüaloupe," accompagné d'une suite trèt pen nombreuse;
elle a visité le grand ehantler et plnaienrs points dn port.
A nne be ore aprét midiS. M. l'lmpératrice a daignè recevolr let com-
plimens dps autorités qui avaient été présentéca hier k Son Angus te Epoux;
elle a rëppDdu'avec la'plus grande affabilité aux diacours qnl lal ont été
adressés. Aprét l'audienccS. M. s'est embarquée et s également vu le
chantier,
Le sojt-, let dimes des prlndpsux fonctioonalret ont en l'honnenr d'étre
prétenties; la ville a été illnminée en entier avec autant de goftt que de
mignlficence. Le palais de S. A. S. le Prince Gouverneur-Génértl, l'Hfl-
tel de M. le Pr'éfèt» te tont distlngués. Tops let èdlfices publics, let
principsnx pontt de la villeplusieurs décorationa placés anx points de
vne les plns stillans ont fait' l'effet le pint pittoresque. La popnlatibn de
cette ville n'a paa démentie dana ce Jour ai conduite envefa act Souve-
rainspsrtout ch LL. MM. ont parutout let coeurt étslent électrisés
et let crls de vive not August es Souverains t Ont manifeitgt les aeatlment
d'affectinn et rentboniistme des Hollandais.
AMSTERDAM le r i Octobre. Sa Mtjesté s parceurn anjonrd'hnl tint I che-
val qu'en chsloupe les principsnx cantux de li ville. Elle a visité l'artenal
ie la marineet Ie quarticr St. Chatlea. La garde d'honneur dn commerce
maritime et les mariniern de lt gsrde ont en l'honnenr de condnire S. M. et
IS suitequi étali éomposé de plusieurs officiers génértnx et autres person-
tages diailnguéa. La fonle qui bordalt let qnait ob S. M. pasaait, n'a ces-
lé de témoigoer lt jole qu'iospiislt la prétence dn pint auguste des Monar.
goeset si confiance dans lei habltans de cette Ville. Un piquet de la garde
d'honneur i cheval, et de chaittura de le garde accompagoaient S. M.
S. If. l'lmpératrice a fait un tour ea voiture déconverteelle était sui-
vie des officiers attachés k sa personae. Let htbitans de cette grande ville
iccourent de tqott partei ne pen rent an rasaasler dn pltlair de contempler
de piéa lenra sugustes Souveralns.
XT RA IT d'une lettre d'Utrecbtle 9 Octobre 1811.
LL. MM. one .quitté let muts de cette ville anjourd'hui it dix heures du
ffiatln. Une fonle immense s'étalt portée snr lenr passage et faiaiit retentlr
Pair de set acclimations; I l'enthouaiismequi avalt écltté i leur arrivéeie
méisit un double saotlment de reconnaisasoce et do regrets qni donnait un
ca;actére particulier k l'expression des pfaisionomies er tjoursit k l'intérét
d'une scene bien digne d'occuper le pincetn de not artistes. Sans doute
met voeux seront exaucés et 063 dignes miglstrtts a'enpresseront de per-
pétner de si donx et de tl glorieux souvenirs. Les tableaux qui lei retrs-
ceraient deviendraient le plus bel ornement de notie Hdtel de Ville.
Avtnt que le grand Napoléon ent dtigné t'trréter dins nos muts, nout
voyons en lui le premier des héroslé génie le plns étonnant qui alt Illus-
tré le monde, msis nou* ae nons ftisloaa pst une assez jutte idéé de aa
bonté. U e paru parmi noot comme un père au milieu de aes enfansaam
eicorte, una gardes, entouré, pretté par la foule avlde de contempler ae»
traits, de lui témolgner ton amour, C'était t qui toucherait ses vétemens,
lt houiie'Ou la bride de sou cbeval; pour lui, aourlantk rous avec cette affa
bilité qui loi.egt particuüèreII traversalt ainsi notre ville k-petit.pas, ne
aemblanr oecnpé que dn toin de préierver de tous dangers cenx qnl dans lenr
enthousiasme se préeipitalenc devantloi, et qui, l'ayint déjk vu, voulaitat
le revolt encote. -
J'aviit été temoiu mon amide ce rtvisstnt apectscledes affections non
moini vivrs ont rempU mon ime, lors qu'tdmii t l'andience de S. M. avec
tont lea fsnetionnaires publics, je l'ai entendu-discuter noa intéréta, ne
dédaigner ancooa dei détails de l'admlnistrttion et appnicr svec one saga-
cité qnl n'appartiest qu'k lui, lei réposaei faiiei k sea questions.
J'svsis admiré le père dé ptuple, le léglilateur de l'Bmpire, j'ai vonlu
tosti aulvre le héros dans la plaine oh ses tronpet étaleer rsssemblées.
Comment pourrtis je vont peiodre les nonvellet émntion» qne j'ai éprou-
vées, rentbonsitsme des soldata qn'il tl souvent conduit a la vlctoire
t'ivresse de toutes let ames, lorsque S. M. l'lmpératrice t pl'rn, lor-que
•urtont les tronpes ont défilé dovtnt elle er qne cbaque soldit 1 pu admi
rer dsns set traits ce mélange de dtgniré et d'inaltérable bienvelllaoce qni
te rendent l'idole d'une nation dout elle t perpetué le bonheutf
LEIDE le tg Octobre. Let dernlerea Lettrea de Vienne annoncent, que
]'ArcbiducRodolphe,leplua jeune des Frèrea deS. M.rEmpereurd'Antrlrhe,
Coadjutcur de l'Archevéqne d'Olmutzet qni devsit «ucceder k ce Prélat
décedé depuis quelque temt, 1 resigné k eet Archevécbe, psr le seul mo
tif de son aversion pour l'étit ccclesiattlque et ton goftt pour le milluire
tyant déjk paru en uniforme de Général.
Ces mêmcs Lettres donnent les details snlvsns snr lei opérstions de
l'Armée du Grind-Visit:
L'trmée devsit effectuer t la foit le passage du Dinnbe sur troit polets dif
férent: aux environs de Silistris, k Rndfchnck et k Widdln. Le passage de
Widdln t réntti au-delk de toute espérsnee. Le 9, k la pointe du Jour,
ig,000 homme* l'ont tenth, et ont pria pied en Valachie. Pendant qn'ila-
■e reirancbaient et eiearmoochalent avec lei Ruate», an second corps de
lg.000 Tares piisait poor lei aouteulr; de manière que le aoir 11 y avalt
30,000 Turea aur la gauche du Danube. II faut dire aani qu'lla ont été
favorisét par diveraes circonftaocas. Les etnxdu Dsnubc aont trés bissetde
maaièrc que le brat qu'ils ont en k traverser est presqne sec. Le général
rnase ivaic envoyé une partie de aes farces dans la petite Valachle; ce qni
s faciUté encore k Rndichuct le paiaagc dei Turcs. Le grand -visit, ssna
jperdre un instint, t fait traviiller k des retraocbemeni considérables; il a
dtsbü -des têtes de pont pour mémger k ses troupes une rétiaiie sssnrée
dsns le cas d'un échectont en chercbant k gagner dn tertalnil ne vent
(légliger aocune mesnre de precantion. Lc trolsième passageprèa de SI.
Istrla, i'i pas encore été cffectué, psr des causes que l'on Ignore. Les
.Tores étaient eépcndsnt en tssez grind nombre inr ce point lk. Tour s'est
Voreé Jnsqn'icisur ls rive gauche dnDsnnbe, a des affaires d'avsnt pos
se; msis on s'sttend jnccssament k nn engagement général, lés deox géné
rtnx en chefs rassemblent Ienrs forces; les Turcs veulent k rout prix re-
sonquérlr la Vglachie et H Moldavië, et les Russes veulent conserver ces
provinces, qoi ont été deduéea pst nn uksfe étre réunles k l'Emplre.
Let Nouvelle* de Londres, qui vont jnsqu'au a Octobre, msndent, que
JeR-ol est toujnurs dsns le mé me éitt. Dans nn Consell tenn le iet Octo
bre, en presence de,8. A. R. le Prince Regent, le Parlement a été pro-
togé au ts Novembre prochiin.
Lts affaires de Sicjle oecupHent fortemenr 1'sttention publique k Londre»,
lórd William Beutinck en éttit revenu le 07 Septembre k l'impiovisie.
Ce Seigneur était pint depula pen pour tiller prendre le commandement des
troupes anglsises dsns la Sidle, et tgir en qnatiré de Ministre Brtrsnnlqne
anprèscdc la Cour de Pslerme, malt <a Sejgnewie n't pis jugé qu'elle put
(ralier avec Je Cabinet Sicüien.
gewnrdigd de Minifters, de Senateurt en de Staats-Radenwelke zich ia
deze Stad bevondente ontvingen; waarna Z. D. H. de Prins Gouvsrneur-
Generaal, rfeèfr had, Z. M. de Hooge Beambten, de Utilitaire Officieren der
Land- en Zeemsgt, de Regcrings-Cellegieo binnen het Departement, den
slgemeenen Raad van het Departement, de Regtbink ter Eeifter lnftantie, de
Kamer van Koophandel, den Maire mer desaelfs Adjunélen en den Munfcipa-
len Raad, den Chef van de Garde d'Honneur. mitsgaders die der National*
Garde en de Bedienaren der onderfcheideoc Galsdieoltenvoor te (lellen.
Het weder, dat den gebeelen voordemidda 1 betrokken was geweest, hield
zicb echter itaande, en niet dan nt dat HH. MM. 'aan bet Pilei» waren aange
komen begon bet te regenen.
Des avonds was de gsbeele Stad geïllumineerd.
AMSTERDAM den 10 October. Dezen morgen beeft Z. M. de Keizer,
verzeld van een niet zeer talryk gevolg, zich in eene Slbep begeven; Hoogst-
dezelve beeft de groote Scboepacimmerwerf en verftffieiden gadeelten van de
Haven bezigtjgd.
Ten een uur, na den middag, heeft H. M. de Keizerin zich-gewaardigd de
complimenten der regcringsmagtenne ontvingen, welke gister aan Hoogstder-
zeiver Doorlucbtigen Gemaal ware* vootgeftcld geworden. Zy heeft met d*
grootile minzaamheid de aaefpraken beantwoordt, welke aan Hoogstdezelve
gedaan zyn geworden. Na de audiëntie heeft zich H. M. mede in eene Sloep
naar de werf begeven.
Dea avonda hebben de dames van de voornsamfie beambten de ter gehad
voorgefteld te worden; de gcbcelc Stad ia met zoo veel fmaak sla pracht ver
licht geweest. Het Paleis van Z. D. H. den Prins Gouverneur Generaal ea
het Hdtel van den Prefect hebben nitgemunt. Alle openbare gébonwen, de
voornaimfte bruggen binnen de Stad en verfeheiden op de meesc in het oog
loopende plaatfen gefielde decorstien behbea de fraaiile nitwerking gehad.
De bevolking diezer Stad beeft deez' dag baar gedrag jegens bare Souvereinea
geenszins gelogenftraft: overal waar HH. MM. verfchenen zynwaren alle har
ten ontvonkten bet gejnich van leve onze Doorluchtige Stuvereinen ,heeft
de gevoelens vin verknochtheid co de geestdrift der Hollanders uitgedrukt.
AMSTERDAM den 11 October. Zyne Mtjestelt beeft heden zoo te paard
sis in eene Sloep, de voornaimfte grachten dezer Stad bewandeld. Hoogst
dezelve beeft het arfenaal der marine bezocht gelyk mede bet kwartier St.
Cbarlea. De maritime Garde d'Hoaneug nit de Kooplieden benevens demsri-
nlers vin de Gsrde, hebben de eer gebsd, Z. M. en Hoogstdeszelfs gevolg.,
beilsande nit verfcheidcne Opper.Officieren en pe-fonen van stazien to
verzeilen. De menigtewelke de grachtendie Z. M. pssfeerdebekoom*
de, beeft zonder ophouden de vrengde nltgedrnkc, welke de tegenwoordig
heid vsn den Doerluchtigften der Monarchen, gelyk mede Hoogstdeazelfs ver
trouwen op de ingezetenen dezer Stad, ioboezemde. Een piket van de Gar
de d'Honnenr te paard, en der Jagers vsn de Gsrde verzeldec Z. M.
H. M. de Keizerin beeft een wandeling in open rytulg gedaan; zy wierd
gevolgd vsn de Officieren sin Hoogstderzelver petfoon verbonden. De inge
zetenen van deze grote Stad fnellen van alle kanten toe en kunnen zicb vast
bet genoegen niet verzadigen, om bunne Doorluchtige Souvereinea via
niby te befeboawen.
UITTREKSEL uit een" Brief van Utrecht, van den 9 OBoler 1811.
HH. MM. hebben beden morgen ten tien anten deze Stad verlaten. Eens
tallooze menigte hadzichlangs den weg gefchurd dien Hoogstdeezelven neme*
zouden, en deed de lacht weergalmen van bun gejnich. By de geestvervoe
ring, die zich by Hnnne aankomst van rondom had ontdekt, mengde zicheea
dubbeld gevoel vin erkentenis en van leed, welk een byzonder kenmerk gaf
aan betgeen de gelaatstrekken nitdrnktenen tot bet belangryke van een to
neel bet Penceel oozer Kuostoefenaren overwaardigniet weinig toevoegde.
Myoe beden zullen zonder rwyfel verboord worden, en onze waardige Over
lieden zich haasten znik een ssngenasm zulk een beerlyk aandenken to ver
eeuwigen. De taferelen, die dezelven znllan voordellen, zouden van on*
Raadhuis het feboonfte Beraad worden.
Vóór her den Groottn Napoleon behaagdezicb binnen onze Mnoren op te
honden, ainfcbcnwden wy in Hem. den eerden der Helden, het verwonde
ringwekkende Genie, dat de Wereld tot luister gedrekt heeft; maar verre van
ooi was bet, ons eenig joist denkbeeld van zyne goedheid te kannen maken*
Hy jtonder ont verfchenen sis een Vader te midden van zyne Kinderen, zon
der geleide, zooder Wachten, omringd en gedrongen door de menigte, die
onverzadalyk waszype gelaatstrekken te befebonwenHem haare liefde te
bewyzen. Men wedyvetde, wien bet gebeuren zoude, zyn rek, her dek
kleed ofwel de teug-is van zyn paard aan re naken; tetwyl Hy allen groe
iende met de minzaamheid, welke Hem zoo byzonder eigen isaldua de Stad
ftapvoets doorreedmet niets beladen dan mer de zorg om voor allen gevaar t*
behoeden illèndie in bunnegeestvervoeringzicb voor Hem ri»derwierpen, en
tlfcboon zy Hem bereids gezien badden, Hem nogmaals wilden wederzien.
Ik ben ooggetuige geweest, myn vriend, van det verrukkend tooneel; dan.
geene minder levendige aandoeningen bebhen myn ziel vcrvnld, toen ik, toe»!
gelasten ten gehoor by Z. M. met tile de publieke Ambtenaren, ooze belan
gen hebbe booten behandelen; geene der minde byzonderheden van bedoor
te gering achtande, en met eene wysheid, welke Hem alleen eigen is, elk
antwoord évikkeode, dit Hem op zyne vragen wierd gegeven.
Ik bad den Vader van het V lkden Wetgever van het Rykbewonderd-V
ik wilde ook den Held volgeq op de vlakte, waar zyne Legerfcharen verza
meld waren; maar boe zonae ik u de nieuwe aandoeningen kannen afmalen,
die ik gevoelde de geestdrift der Soldaten:ZO dikwerf door Hem ter over
winning geleid; de. zwvmelfog van alle sanwezenden, op dé aankomst der
Keizerin, vooral toen de Troepen voorby Haar gede^'eerd hebben, en efk
Soldaat InHaa.' trekken beef, kunnen bewonderen, die mengelingen van waar
digheid en onverwinnelyke welwillendheid, die Haar de lust en de liefde
doen zyo van een Volk, welks geiok zy vereeuwigd heeft
LEYDEN dec IJ October. De jongde Brieven vin Weenen berigtes, dit
de Aarts -IJertog Rudolf, jongfte Broeder vanZ. M. den Keizer van Oostenryk,
Coadjutor vin den Aarts-Bisfchop vin Olmutz. en welken dien onlaags over
laden Prelaat moest opvolgen van dar Aarts-Bisdom beeft sfgezien enkel nit
hoofde van zyn weerzin in den Kerklyben ftanden zyne (mask voor bet
Krygsweaenzich bereids in Generaals Monteering vertoond hebbeqde.
Die zc.fde Brit ven deèltn de volrende byzocderhèden medewegens ds
verrigtlngen des Leger» van den Groot-Vifir.
Het Leger moest den Donau op drie onderfcheide punten pasfeeren; ln de
•rnmeftrecken van S lisrrit, te Rudfcbuk en bv Widdln. De Overtogc by
Wjrldiu I* boven verwtgtiog'gelokt. 15000 Man ondernamen zulks den 9
Augustus "met het aanl'cht-n van den dag, en vsttede post in Wsllacbyen.
Terwyl deze zich verfchanwen en met de Rusfen fcbermutzelden trok een
tweede Corps van tgooo Turken dén vloed over om hen te onderdennenzo*
dat des avonds 30000 Mas op den linker oever vsn den Donau waren. Meu
moet ook zeggen dat zy door verfchelde omtlandigbeden begunftlgd wierden.
De wateren van den Donau wtrea zeer laag, zo dat zv den arm dien zy
over moesten byna droog konden pasfeeren. De Rnsfifche Generaal bad een
gedeelte van zvne magtin Wsllacbyen gezonden, bet geen den overtogc der
Turken by Rndfcbuk ook bevorderde.
De Groot-V'fir, zooder een oogenblik te verliezen, liet aanilonds geduch
te Verfcbaui fin.cn en Bruggenhoofden aanleggenomingevalle vantegenfpoed
een veilige wykplaats san zyne Troepen te verzorgen. Onder al zyn pooglngen om
grond te winnen, wil hy maar geenrrlei middel van voorzorg verzuimen. BySi-
liftriala de derde overtogtnog niet uitgevoerd, door omftandigbeden, die onbe
kend zyo. De Turken waren aldaar evenwel in groot aantal. Tot hiertoe is op
den linker-oever alles nog msar by gevechten vsn Voorposten gebleven,
doch men zag eerliog eene algemeene actie te gemoei; belde de Legerhoofden
verzamelden hunne Krygsmsgten. De Turken willen, het kost wat hst wil,
Wallschyen en Moldavien heroverenen de Rusfen willen die Provincie*
beboodenwelke by eene uksfe met het Ryk véreenigd zyn verklaard.
De berigten vin Londendie tot c October, gainmelden dar de Koning al
toos in den zelfden (last ia. In eene Raadsvergadering ten bywezen van Zyn*
Koo. Hoogh. den Print Regent op deo 1 October gebouden, is de byetnkomi.t
vtu her Parlement tor den den ia November aandiende verfchoven.
De zaaken van Sicilian hielden de publieke aandacht fterk bezig. Lord Wil
liam Bcnrinck was den 27 September onverwtgts vso daar terng gekomen.
Die Heer-was federt weinig ryds derwaards vertrokken om bet bevel over de
Engelfche Troepen In Sicilien op te neemen, en by bet Hof van Palermo ia
hoedanigheid vsn Brltsch Mlnitter te sgeeren, doch zyn Lordfcbap bseft niet
geoordeeld met het SiciliaiMCh Cabinet te kunnca handelen.
