4. Mctaiëiira iét? «ómmlalairél de police et offlclers-de - piix de h ville
ir M. Fdatér, iodépendament at cea reprëfétitatitmj ïmpéii-nses in eu
"ijei de lt rencontre «vee le Little-Belt, a fait''une deaande catfcegorlq e
«nx Etata-Uni» de rapporter sans délal la loi de non-iniercoiirtcct de
deminder en méme temi i la France de révoquer ses decreta co céqu'ils
ont de rélatlf 1 l'Angleterre."
Au sujet dn Little-Belt, notre gouvernement «'est emp-esaé de dou-
ner l'explicttion U plos satisfaisanteet 1'on présome qaM, r'a fait effecti-
vement; mali i l'égard de la loi de non -intereiurieoo a repoodo qoe da
eengréa aeul ponviient émaner de# actes de legislationqu'il se rassembic-
rtit «n Novefcibre, et que c'éttit it'ce corpt d'agir aelou qoe la sigessé et
la jnstice le demanderaient."
a Mais qu'l l'égard de Jaqueatjon concernant la France, on tonte antre
nt'onlea Êtats-Uols ne s'en mêleraient point, et se bornertlent uniq ne
stent i ce qui lea régarde; qoe lea Etata-Unis avaient offert la G -i'nde-
Brétegne, conjointement avec la France, one belle et loyale occasion d'ob-
tenir non-aenlement un rappqrt commercial non interrompu avec les Etats-
Unis mais escort (al elle ent accepté les conditions) one exclusion de la
France en sa ''faveur;' que la Grande'. Brétsgne n'a paa vonlu prendre la
voie compatible avec la jnstice et ses Intéréts commerciauxen laisaant le
pavilion des Etata-Unis dans la possession libre. des droits nentrea des na;
lions indépendantes; que la France a adherd h aette proposition et qu'ac-
tnellement il 'en resnlte un engagement pour iequel la fot nationale des
Etats-Unis dolt répaedre anssi longtems qoe la Grande-Brétsgne persistera
dans sea agressions contre le commerce des neutresqoeen ce qni regar
ds» la France, elle avait aatisfait k l'engagement; de sorte que le payillon
'des Ettts.'Unit était libre, de son cóté, dans les mers, et que lés Etats-
Unit ai'avaient point le droit de ae méler de la dispute entte les deux puis,
sauces belligérantes, k laqnelle lis n'étaient pas intéresses; et quepat
conséquentils lie feraient aucune representation k ce aujet."
't« Voiïk la substance de ce qne nona avons pin savoir sar cct ofcjet."
b Quant k la conduite et aux ménaces de M. Foster en cetté occasion
rout ce qne nous pourrons rapporter, e'est quesur la réponse tempérëe
|ue M. Munroë fit k sa demande, 11 prit un ton arrogant et insultant en
néclaranr .que si la loi de non - intercourse n'étalt paa immédlarettent rap-
portée, des forces telles que M. Munroë est loin de le penaer, paraitraient
rur n'os cöteset detroiraient non-seulement noire commerce dans l'étran-
jer, mais encore le cabotage."
b On dit que M. Munroë avait'éconté ces menaces avec dignité et mo*
éérstion, et avait reprit le jeune gentleman avec la sérénité d'nn sage,
pour la rnd'sse de ses expressions et de ses manièrea."
Cëtte circonatafice insttendue retards de trois jours le départ de tl. Mun*
ic'é pour la Virglnie, et M. Barlow a dü rettrder le alen d'autant de jonra
poor la France."
Voiïk eft en sunt nos affaires avec la Grande-Brétsgne. Le président,
avsot son dépsrt a, dit.on ordonné d'équiper complêtement tons les vaia-
aeatk appartenins aux Etats-Unlt, et d'acbever sans delsi tons les travanx
militair i sur la cóte."
Exrrait ifune lettrt leritt èl'bcrd dn Cnmbérlanddevant Valer me,
•du 6 jiMllet.
Un ordte a if;é docné par S. M. sicilienne ponr qne tons les voytgenra
anglais eussent k quitter Pslerme sans délaiponr a'étre permis de grandes
libertéa envers le gonvernement de ce pays; et pour a'étre trop méld» des
affaires qni le concernaient. Le méme jour, les princefc de Villa.Francs
Castcl-NuovoBelmonte et on autre, ont été arrétés paf lei Gardes du
Rolet envoyés k bord d'un valaseau de guerre aiciliéhmouillé dans la
fcsie. Ils ont été bannls k I'lle de Panraleria et k denx autres lias, par ce
qu'ils avaient, auivant la proclamation dn Rol, conapiré contre leur sonve-
raln en protestant contre la taxe d'nn ponr cent qu'il avait imposée, et en
appéllaut le seconrs de la Grande.Bretsgne peur s'opposer k l'autorité le
gitime de S. M. le Rni Ferdinand. La reine est parvenue k se procurer une
pétition adressée au gouvernement anglais, et. signée par cicquante-denx
barons siciliens. Leur bot était dé former un nonvean gonvernement. On
cfaint qne Ia conr de Palermè nc s'oppoaé au débsrquement du Miriittte,
Lord William Bentieck."
EMPIRE FRAN A I S
BOULOGNE Ie aa Septembre. Ce matin k buit beures, S. M. a dónné
audience aux autorités civile». A neuf hénres, i'Empereur.est torti de aon
palliaet s'est rendu k cbeVal au camp de droite, oü il passé Ia revne de
tonte l'armée, commandée par M. le Mtrécbal Due a'Elchiqgen. Cette re
vue a été suivle de l'exercice k feu et des grandes manoeuvres A une btu-
re et trois quarts, S. M. est moatée en voiture ponr continuer sa route par
Caiais et Duoquerque.
Noua apprenous de Monftenll.sur-Mer, qu'an moment oir l'Empereur a
passé «n gné li rivlére de Caucbe, ayant de J'eao josqu'au genou, ie pro-
priétalre d'nn monlin situé sur le rive opposée prit '3. M. tons les bras,
ponr l'aider k monter la digue; ilexposa k l'Empereur que ion moulin allait
être abattu, comme étant dtna la ligne des fortifications projetce-. Alors
S. M. ae tonrnant vers lea ingénienrs, lent dit; 11 faut que ce brave bom-
me soit dldommagl de la perte qu'il va faire.
PARIS, le as Septembre. Le Journal de Metz annonce que S. M. l'Em-
perenr, aoit tenir anr lts fonts de baptême le chevalier Acbille d'Eapagne,
dernier fila de feu M. le comte d'Eapagne, tué k la bataille d'Eafiing.
Lei 5 pour Centa étalent bier So et 55. Lea Actions de U Banqne 1048 et 7<.
AMSTERDAM, le n8 Septem'oie.
DIRECTION GENERALE de la POLICE en HOLLANDE.
REGLEMENT sur la circulation des voitures pendant le se jour
de LEURS MAJESTÉS IMPERIALES ET ROYALES,
Amsterdam.
Le Directeur .Géoéral de la Police en Hollaade, après s'étre concerté k
eet égard avec monsieur le général, sénateur, gouverneur du piiais impe
rial, arréte lea dispositions suivantea:
Art. r. Les voiturea qui, pendant le aéjour de Leura Msjestés, k Am.
sterdam, se rendront au palais impérial, y trriveront du cóté de la facade
qui donne aur le NiewezydaVoorburgaralla porte d'eutrée qui ie trouve
sur la place du Dam, étant excluaiVeme&t reaervée pour Leura Majsstéa
Impériales et Royalea.
Lea voiturea re pourront arriver an palais qne par le cóté dn Kalver-
straat, et du Pypemarkt; ellea en partlront par ie cóté opposé en gardant
toujonra a leur droite le palaia ImpériaU
3 L« voltores ne ponrront point atatlonner devant la porte du palaia
ellcs te s'y ïrréteront que le temt atrictemënt nécessaire. Et elles Imnt
ensulre it ranger en file en fape de l'Egliae-Nenvesur la ptice nottmée
le Donkere sluit, et s'il, le faut, «ur tout le prolongement de la partie
du Nieuwezyds-Voorburgwal qui ae trouve k droite du Donkeie sluia.
4. Ponr venlr repfendre les peraonnes qui sortiront dtr paltlsles voitu
rea pasaeront le long du ctualet du có'é oó se troüvé placé l'Hóte! de
la poste aux lettrea. Ellea traveraeront le Pypematkt-Slui.«Uèa revien.
dront devant la port» commune du palais j elles en repartiroot eu le re-
»ant toujonra X leur droite, et en traversaat le Dim, pour se rendre k
leurs deatlnatlon respective.
5. Le public est prévenu qoe le passage du perron du palair itrp'rial
devant la porto d'entrée, reaeivée a Leura Majeitéa, ut interdit.
Pendaot les illuminations f les fcux d'artific» et ls» fêtes qui anront
lieü ap'ès.le conCber dd soieil, il ne sera permis qn'aax voitures qni iront
k la eonr on en reviendront de circuler dans la vllle les cochcrs devroat
•fcr au pks peur préveuir lei aectdens.
7. ri est expressement défendu, d'élever dans lés més, snr lts places
pnbliqot-s et sur les qnaia,,.des écbaflndage» deatinés 1 re ce voir dn mon
depour y jmitr de la vüt des fèzr.s, ni de mónter sur lea arbres qui
•ordent les ctuaux;- il est également defendu k tour particulier de tirer dans
rencelcte de la viite aucune boèie ou pièce d'artlfice.
I De Heer Foster beeft, buiten enbehalven zyncgebiedende vertoogeo
iatrke van de gebeurenis met the Little Belteen caragorifche eisch aan da
Vèreentgdé Staateti gedaan, ora zonder nitftel de Wit vso Non intercourje in
re trekkenen ten gelyken tyde v»o Fraokrvir te vordeten de htrroepitg vjj
de stel is Dscreeten voor zo verre die tot Eoyeiaod betreklyk zyo."
m Wegens de zsak van the Little Belt, heeft ons Gouvernement zich ge»
haast de mees£ voldoende opheldering te geeven, en meu vermoed, dit bet
zulks in de daad gedaan heeftmaar ten aanzien van BcY/ttvenNon-intcrcoursfe
beeft men geantwoord, dit daaden ven wetgeeving van het Congres alleen
konden afvideijendat hetzelve in November weder zou vergaderen, ea dat
her aan dat Ltgchiam ftond om te handelen volgens het geen de wyabcid en de
rechivasrdigheid zouden vorderen."
h Edoch dat, ten aanzien der vraag aangaande Frankryk, of elke andere
Natie d„e Vereenlgde Statten zich daar mede'niet zonden beihoeijen, en ziek
eenigiyk bepaalen tot bet geen hun aanging; dat de Verccnigde Staaten aai
Groot-Brittisnien gezamentlyk met Frankryk eene fchoone en pligtmatige ge.
legcchtid hadden aangeboden om niét alleen eene ongeffoordc handelbetiek-
king met de Vereenlgde Staaten te erlangen, maar ook indien hetzelve de
vborwaarden had aa'ngenomtn) eerte ultfiuiting van'Fraekrykten zynenvoor.
daele; dat Gront-Brittannlen den firookbaaren weg van de billykhtid enzym
lundel-belangen niet heeft willen iniDan met de Vlag der Vereenlgde Staaten
in het vry bezit te latten van de neutrale rechteo der ouafbanglyke Nktiën;
dat Ftinkryk dat voorfiel heeft toegedaan, en dat daar uit werklyk eené vet.
bintenis voortvloeid, voor welke de Nationale trouw der Vereenigée Statten
moet verantwoorden, zo lang GrCot-Brittinnicn volharden zal in deazelfsait.
randingen op den handel dar Neutralen; dat, in hét geen Frankfyk betrof,
hetzelve aan de verbintenis had voldaanin dier voege dat de Vlag der Ver.
eenigde Statten, van deszelfskantin de Zeeën vry waa, en dat de Véreenigdr
Staaten het récht niet hadden zich in,het gefchil te deken tutfehem de twee
Oorlogende Mogendhedenwaar by zy niet geintereafeerd waren, en dat ty
gevolglyk geenérlei reprefentatie over die zaak zouden doen."
Zie daar het boofdzaaklyke van hei geen wy aangaande dit voorwerp hel»
ben knotten weeten."
b Wat be treft het gedrag en de bedreigingen van den Heer Foster by den
gelegenheid; alles wat wy kunnen berigten ls, dat hy, op het gemaatigd ant
woord, het welk de Heer Mnnroë hem op zyne vordering gaf, een ver-
waanden en hoonenden toon aannam, met te verklsareo, dat zode wet van hes-
intercoursft niet oomiddelyk wierd ingetrokkener op onze Kusten zodanige
mtgt verfebynen zonde, als de Heer Munroë verre af was te denken, en niet
alleen onzen buirenlandfchen Handel maar ook de Kustvaart zonde vernielen."
b Men zegt dat de Heer Munroë 'die bedreigingen met waardigheid en be.
fcheidenbeld aangehoorden deu jongen Heermet de opgeruimdheid van eea -
Wyzen beflsnr had over de ruwheid zyner uitdrukkingen en manieren."
B Die osverwagte omftaadigheid heeft de reize van den Heer Mnnroë naar
Visginien drie dagen vertraagden even zo veel dagen heeft de Heer Barlov
zyne reize naar Frankryé moeten uitftellen."
b Zie daar hoe or>zs zsafcen met Grout-Srittannien (laan. De Prefidest
heeft zegt mes vóór zyo vertrek ,jielast het volkomen toerusten Van alle él l
Schepen der Vereenlgde Snaren, en alle Militaire werkzaamheden op de Kei»
ten zooticr uitfte! te voltonijen."
ExtraS uit een Brief, gefchreven aan Boord van the Cumberland,
voor Palermo den có 'July.
■fc Door Zyne fficiiiaapfche Majeftett is eene ordre afgegeevendat alle Engel,
fche Reizigers Paleriro zonder nitftel moeten verlaateeom xlChgroote vrybedea
veroorloofd te hebben jegens het Bcftnnrvan dit Land,en zich al te veel inzaa-
kent» hebben geffokenwelke hetzelve aangaan. Dien zelfde* dag zyn dePrini»
feu van Villa-Francs, Cestel'Nhovo, Belaaonte,en een'ander door 'sKoniagi
Gardes gearrefteerdaan Boord gezonden vaneen in de Baal liggend Sicilifanach
Oorlog-SChlp, en gebannen naar het Eiland van Pantaleria ce twee andere t
Eilandenom dat zyvolgens des Koning» Proclamatie tegen hunnen Son-
iverain bidden faamgezwooren, met te ptotesteeren tegen de belasting van één
pet Cent, die by bad opgelegt, en merhetinroepen vanden byftand van Groot-
Brittannien, om zich tegen bet wettig gezach vin Z. M. den Koning Ferdi
nand te verzetten. De Koningin ia gedaagd meteen verzoekfchrlftin banden te
krygen, aan het Engelsch Gouvernement geadretfeerd, en door 53 Sicilian-
fche Baronnen getekend. Hunne bedoeling waa eene nienweRegeering teiot»
men. Men vreest, dat het Hof van Palermo zich. tegen de ontfehepiuj val
den Minister Lord William Beminck zal verzetten.
F R A N S C H K E I fc E R R Y K.
BOULOGNE den éi September. Dezen ochtend ten f nnréq heeft Z. Mi
aan de Burgerlyke Magten audiëntie verleend. Ten negen nttren is de Keitel
uit zyn Paleis gegaan en te paard naar het regter. Camp gereden, alwaar Hoogia
dezelve hec geheele Legerdoor den Mirfcbalk Hertog van Elchingen ge-
commandeert, ln oogenfehonw nam, waarna bet Vuuren en de groote Ut-
noeüvres plaat* haddén. Ten een en drie qnatt uure ia Z. M. in bet Rytnfg
geilapt om de reize over Calais eh Duinkerken voort re zetten.
Van Montrenii-aan-Zee verneemt men, diiophetoogenblik, datdeKeiltl
de Riviet van Canche doorwaadde, gaande tot de Knieën in 'r water, de Ei
genaar van een Molen aan den overkant, Z. M. ouder den arm nam, 00
Hoogstdezelve in 'c opklimmen van deu Dyk te helpen. Hy vertoonde aaodei
Keizer du zyne Molen ftond geflecht te wordea, alt begrepen in linie der voorp
nomen Fortificatiën. Z. M. zich toen naar de Ingenieurs keerendezeidetiii
braave Man moet J'cbadeloos gefteldworden voor 'tverlies dat by ftaatte lyit i
PARYS den 35 September. Het Dagblad van Metz berigt, dat Z. M.
Keizer, den Rfdder Achillea d'Espigne laatftï Zoon van wylen den Gih
d'Espagne, in den Slag vin Esfling gefnenveld, ten Doop moet heffen.
De 5 per Cents waren gister 80 en 55; de Baok-A&'én 1348 en 75.
AMSTERDAM den s8 September.
GENERALE DIRECTIE der POLITIE in HOLLAND.
REGLEMENT op de circulatie der Rytuigen, geinurende het vu
Uyf van HUNNE KEIZERLYKE EN KON1NGLYKE MAJSI
TEITEN te Amfterdam.
De Directeur-generaal van Politie in Holland, na alvorens zich te dieno)
zigte met den Heet GeneraalSeoateur, Gouverneur van het Kcizcrlyk Pale:
verdaan te h.ibbcn srteatèerd de navolgende beplatingen i
Art- I. De Rytuigen, dewelke, gednnrendc hét verblyf van HH. MM.i
Amfterdamzich naar het Kéizerlyk Paleis znllen begeeven moeten aldm
langs den kant des Achterrgevels, dewelke op deu Nieuwezyds Voorbnrgf
ziet, aankomen; blyvende de ingang, dewelke zich op den Dam bevindt,
uitfiuiting voot Hunne Keizerlyke en Koninglyke Majefteiten beftemd,
De RytUlgen kunnen niet, dan door de Kalver Strait en langs de Pj
pen Markt het Paleia naderen; zy zullen van ddir langs de tegenovergefiel'
zyde vertrekken, fteeda beiKeizerlyk Paleis aan hunne regterhand behoudeai'
3. De Rytnigen zullen niet vóór de deur van het Paleis kunnen vertoevn
ij znllen zich ildiir niet langer dan ftlpfelyk nodig iaophoudenver«'
gene zullen zy zich op ééne ry en in orde over de Nienwe Kerkop h
Plein, genaamd de Donkere Slui»plaatfen, en, byaldicn het nodig ia,b
verlenging, op dat gedeelte des Nieuwezyds Voorburgwal, het welk zich»
regterzyde van d« Donkere Slnia bevindt.
4. Om de PetfoneB, die van uit het Paleis zullen komen, weder af te hik
moeten de Rytnigen lang' de Gracht cd laags den kant van het Postkan:»
afkomen, zy znllen de Pypenmarkfs Slnia overryden en zich alzoo weder v»
de algemeene deur Van het Paleis vervoegen. Van daar vertrekkende, zuil'
zy, hetzelve fteeda aan hunne regter-zyde houdende, over den Dam rydei
ten einde zich naar hunne refpe&ive beftemmingen te begeven.
5. Het Publiek wordt verwittigd, dat bet gaan over de kleine Steentje
zich bevindende vóór de deur van inging van het Keizerlyk Paleis, belt»
voor HH. MM.verboden ia.
Gedurende de lUnminatlcn, Vuurwerken en Feesten, dewelke, ca zt
ne-ondergang, zullen plaats hebben, zal'het -alléén aan de Rytuigen. de*1
ke naar of Van k«t Hof komen, vergund zyn, -door de Stad te ryden de
ziera znllen hunne gefpannen ftipvoets lasten gaanom lila ongelukken vt
te komen.
7'. Het ia volftrek't verboden, in Straiten, op openbare Pieiucn, en 1"
Grachten of KadenStellaadjenbeftemd om përfoneo te ontvangenten eh
bet gezigt der Feesten te genieten, op te rigaen; in Boomen, langt de Gt"
ten of Kadan geplant, te klimmen; gelyk het mede, aan, wien het ook'
verboden iaom binnen in de StadVoetzoekers of andere Vuurwerk»»
te ftegken. L
3. HH. Commisfarisfen vaa Politie ea Vrede-OfBcietén der Stad An."
