Hek vonla placer viugt garpoes 1 Wagentnjte»et dans les environs, dina
des méners on chez de laloureurs. Deveuus robustedéveloppaut leur«
tilcss et tenrsm la nécesslté da travail douc sis osst coatinuelletsein
l'exemple devint les yeux, ces enfans, comme leur compagnon»rceonnal-
troat an jour les bieofaits qu'on lear p/odlgue.
Profitant de aes relations daps ces coutrées, M» Aalbers, i Eist, a dis-
tribué les enfans i plqsienrs distante». C'est aoss.vtulemcat is Eist, osais
jnsque dans les environs de Se venter.qu'il J=s a placés; nous en avons
visité i Pannerden. Dans «n nomhr'e considerable de con.curreBs, M. Aal
bers fait un cboiz excellent, et les eafaus ne s'en trouvent quo d'.uttn
asienx. D'alllenrsplusieurs de ses amis se sont chargés de la surveillance
speciale daas ies différens districtset'la minière dont lil a'en taicqnittent'
t son exemple leur fait beauconp d'honneur.
C'est I M. ie comte dé Rozenburg que la commission doit en gVftd;
pattie le placement dea enfana a Gotnichem et daas le pays d'Altena;
MM. Goudoever, le baron Ssoeers de Landasmembres correspondanset:
M. Ouzoerkerky mettent un aoin- iofioi; neus avons vils les enfani is Va
ren et Dalem, et U cussi blen q8e dans lea aasreadépartementon né
ctsse de ccSpétet ivec zèle aa bat bienfaistnt que votre alteisc s'était
proposé.
C'est dans les mèmes vaes, et avec le naSme saccès, que M. Six de
llillcgom s placé des enfans 1 Hillegom.
Nous ne pgrlerona pis de M. Aaninck ni des enfans sons sa direction
Noórdwyk. Votre altesse le.s a vüset l'éloge flttteer que votre altesse
,a dalgné denner k M. Aaninck, lui est infioimenr honorable, noua esné-
fons qu'il voudra blen acquleacer i notte de mande en y plspant d'avan.
Wge.
Let renseignemeca que nous avons re^us par ns dés membres de la
commission, des enfans confiéa i ia surveillance de M. Baesten, k Tii-
bonrg, lont trèi-atlsfaisaosil en est de même de ce-tx que M. vanPrcbn
1 Assen, M. van Riemsdykprés de Meppelr, M. Barnevcl'd, k Hattem
et M. lc Miniatre Bcckbuysk Hardcnberg, ont pltcés.
Cent enfans vont partit pout Vetsvolde, c'est hl. van der Berch van
Verzoolde qui t bien voula s'en charger.
II nons a été bien donk monseigneur, do retoarquer partont l'intérêt
qts'on prand k tons ces enfans, ce ne sont non-senlement MM. les mem
bres correspsndans de ia commission, mtis encore tons cessx qui les secon-
dent, dont nous avons admirés le zèle, et les procédés, Ce sont suTtout
les ministres dea différens cultes et lea inspectehrs dans ,les district!qui
oaent se flatter de mëriter l'approbation de votre altesse; nou» poutrions
Citer plaiirur* traits digues d'éloge. Tel entte antréaM. le mtniatre Hes-
i clink, k Appeldoorn, non-obatant les services at xquels son ministère
l'appele les jouis de dimanche, vent bien encore coosacrer one partie de
cetce joornéek l'lnstruction rellgieuse de eet tsfanspoor ne pas leg dé»
tournet de tear travail pendant la aemaint.
Psrmi les enfans dont M. Aalbers avai' Conèé 1» surveilllance »u siént
tuin Egeren, dans les environs de Sevenaerun gitpon étijt sujet k des at-
taqqe: d'épilepsie; personne ne voulant le girder on écait en droit aiix ter-
me» des cpotrats de le renvnyer k l'hospice. Jalotx de le conserver et dé le
rendre a la santé, le sieur van Egeren l-'a pris chez lni, et -une guérisoh
compléte a 'sourbnné sea efforts et ses soins asaidas intact que dëaihtérèssës.
Dana tens ies ménagésles enfans sont cocaidérés co mme falssnt partie de
fypfsmijleeux-mêmes regardest leur» meitres comme lenrs natens, et pree-
qüe ton- leut donnent ce nom. A r.xcuption de t ès-pcuils sont vêtus
I la meuière du pays, nosrria, et ttauv- comme le- vpftas des habitses.
Ccnfondus s"»c ceux-ci, a'instrulsant, t -vsillan' av-c mx 3u mtrin jusqa'ai:
asir, 11 est certain, nous oaont le prédire, qn'ils ve.quittrront cês ménages
qne ponrvus de toates les qualités réqrises pon* étre employés aux tta-
vtut des champsdsns les métiers et les manufactures; et les hotplcea en-
fia réndront k rétat dei citoyeaa lnduatrleux et utiles.
Avant de terminer ce rapport, qu'il nous, soit permis de présenter k votrt
altesse l'effet de eet dispositions sur l'hflpita! des tnfsns trbu'és k Aon ter
dim, y com pris les cent qui. vont pkrtir incsssatoent, eet établfssoment**
pottéhuit-cent enfans dana la campagne au bout de sept tools, dix-huit-cèrt v
rest ent encore, et aelze-cent se trouvent chez les nonrrfces; mils pat des ex
péditlons contsauelles ce hoiqbre diminue, et si des mesures de police pré1
vienneut l'envoi 'des enfsns des autres départemens et des autres villese;
rendent en méme tem» l'abandon de cea innocentes créatures plus difficile
noua pourrona nous flatter que cette Institution répondra un jout dignïmrnt
aux sommes imjneuseaet aux solus qu'elle exlge.
Tets sont, monseigneur, les prémiers résulttts des operations de la com
mission que vótte altesse a créée et qu'elle ne dédaigne pas de raider dies
ses travaux. Hecrenx d'y étre associésnou? le serons bien d'avantage, si
par nos faiblcs efforts nous puissloui mériter rapprobation de votre ahesit
G'est avec le plus profond respect que nous avons l'honneur d'étte.
MONSEIGNEUR.!
De votre altesse sérénissfme,
Les trés-humbles et très-obélsssns servitenrs,
C. VOLLENHOVEN, J BERNT?,
Membres de la commission des hospiceset d» I'administration
de l'bdpital ies enfans trouvis.
Pour copie conforme
J. KOPS, Secretaire it la commission ies hoepicts.
Amsterdam, le 3 Aoüt 1811.
AVERTISSEMENT au public et aux préposés des Douanes.
Par ordrt ie Monsieur li Comte au Sussy, Conseiller d'Etat
A vie; Directeur•Glniral des Douanes de l'Empire.
,L t M'-itte-des-RequétesBaron de l'Empite Directeur •Principal des-
Sltes Dpnaoe», dans les Déntrtemens de la Hollande;
Rappelle au pubtic, aux cómraerfrns navigatèurs et pécheurs, aux em
ployés des Douanes, et k tons autres qu'il appai tiendra:
Quedans aucuu cis et pour quelque motif que ce soitil ne dolt étre
iccordé ni off rt aucune .espèce de retribution, soit argent, solt en nature
atx préposés de tout grade de la partie aetfVe dA Douanes, tauf l'indem-
nlté k liquelle Us ont droit lorsqu'ils sont mis k bord dts bStlmens
pont les convover.
Qu'il ne dolt tien étre payé dans les bureaux des Dousnes au-dtlt des som
hei fixées pir les tarifs et réglemeus pour les droits d'entrée, de sortie et de
navigation: desque'l-s aemmes lét récevenrs ne peuvent, sous aucun ,jiré
«ate se disperser de donner quittance:
Que, excepté quinze centimes par pi0tub effecrivemene apposé dans les
C>| nil leplombage est ptescrit, les préposés dn service sédentaire de tout
inde nc doiveut égslement rien recevoit k leur prOSt particulier.
Que tout ce qne les préposés des deux servicer, e'est-k.-dire routes les
pttsannés attachées aux Douanes, quel que soit leur grade se feraieDt don-
>tt ou recevraient, même k titre dé présent, setait réputé concussion et pusi
toa.senlement pit la destitution, made anasi par de plus fortes peioés sul-
Wat les circoostances.
Qu'il est de l'intérét de» particulierssdu» tona les rapportsd'examiaer
loigneuiemeat lei cotnptes de tears expéditeprscourtierscaplraiuet on
Hires agenssfln de vétlfier si les sommes que ces agens prétendent 'avoit
Wvées inx bureaux et aux préposés de». Douanes, sont appuiées d'acquits ou
quittances, puisque dans le «3 contraire, ils doiveut les rejetier desdits
Wóptes. I
Bnflnque dins le ca» cü des préposés dea Douane? exigérticflt de» réti'
anions autres ou plu» fortes que cell» qni est atitorif^e ppur.le ploaibige
I' est dn devoir de» persoobe? de qui ón voudtaft les exlger de s'y refuser et
'la porter plainte an chef locallcquel dnvrs recevoit ladite plaiotc et la
"ttsmottfe ,k «un supérieur.
van Hemmendie we! een twintigtal Jongenate Wagtqlefee en la it aauut-
-reken rp Ambachten Of by LSndbounrers beeft willen tjaatfen. SsérkTe-
wotden, hnnce knndijbedeo ontwikkelende, en df noodztieiykimfd van dea
•tbeid, wait van zy befteod.ig ber vookbeejd voor oogen bèt-bbn; öndétvifl-
tecde, zuilen deze Klnderc-o eve ,t4 buutte Gezelhtaeenmaal de weldaden
lie tuer. hen toedeelt, erkennen.
Zyne betickkltigeo in die Oorden zich ten nat maketidé beeft it Mtct Aal
bers, te Eist, de Kinderen op verfeheiden afilsnden verdeeld. Het Is niet
ilecht» ce Eist, maar tot in de ofaöeftreketi vhn Sevenasr'dat h'y Ze geplaatst
heeft, wy hebben er te P»Mierden bezocht. Uit een ssnzieniyk getal Mede-
ingets heeft de Heer Aalbers eene uitmuntende keuze gèdian èff de Kinde-
en zyn er daar door nog te beter aan. Overigens hebben yeffqbeidefl zynet
Vrienden zich belast met hetfpeclaal toezlgt in de verfchjiiende Dtilrliften tér»
wyl de wy ze hoe zy er zich op ?,yo voorbe ld van kwyten bauveeieer aandoet.
Het is aio den Heer Crave van Rozenburg, dat'de éommjsüe grooténdeèla
eet plaatfen der Kinderen ie Gorltschem en in het Land van Alténiyêr-
frhuldigd is; de Meeren Goudoever1 rfe Baron Szocers de Landascorrcspou-
deiendc Leden, en de Heer Ouzoïrkczk dragen cr cctj* oneindigen Zorg voor»
wv htbbea de KiiKleren te Vuren èb Dalem gezien én den zoo wel als ln dn
overige Departementen, hótidt nren-yilet op, met jr$dg.'tot bet weldadig oig-
aaerk, het welk uwe Hoogheid zich had voorgefeeld', théde te werken. -
Het,ia met hetzelfde inzlgt cn mét heuclfde goed gèvolg. det de Heer Six
van Hiüegom- Kinderen te HÏIlégcm heeft geplaatst. -
Wy zullen nietfpreken van den Heer Aaninck, noch van de Klndrrtn oa-
der zyn roezig?, re Noord wyk. Uüre tfongbeid-heeft ze gezièn, enden (tree-
le oden lof, diftnüwe Hoogheid tan, dep Hser Aapinek wel heeft willen toe.
.zwaijen, is htm oocindig ■rereèrende; wy hoprndat hy wel zal willen to*,
treden tot éhs verzoekom ér meer'Uplaatfén. ',rf'
De onderrivtingenwelke wy van ren. der Lieden van de Commiefie ontvtn-
gtl» hebben, o-ntreic de Kinderen aatf hetroezigt van den Heer Batsten, rn
Tilburg-, toebetrouwdzyn zeer voldoendevan geiyken is het met dié,
wUfee de=t-iee- var, Prebn te Asftn ,.dr. Heer van Riemsdykby Meppelt,
dr Heer Sarneveld te Hattem, en ds Heer Predikant Betkhuys te Hafdenbtrg
geplaknt hebbtto. -
Hor dèt i Kinderen ft'én op hun vertrek naar Ver.Wolde bét is de Héer üig»
der Borcb var. Verzoolde, dit er zich w-i mede beeft willen beliaten.
Her was ons zeer aanjenaatn. Mo->feigneutallerwcge bet belan» te ontwa
ren, dar men in »!!e die Kinderen Heithet zyn niet Hechts de Heeren cor
responderende Leden van de Commisfle maar daarenboven1 allen die hen
beh'Mpzainl zyn, welker yver en handelingen wy bewoD.derd behbec Het
zyn bovenal-de Leeraren dér vtrfchiliende Gezindheden, benevens de Infp«c-
teuts in dc Diftricten, welke zrch durven vtetjen, de goedrenring van Uwe
Hoogheid te Vt'vdienenf »y ZDtrdcó'-vetle lofwaardige trekkaa kannen aanhs.
Ien. Zodanig, onder anderen, wil dé Heer Predikant Hesfelink te'Appel.
doorn, nietter.enffsapde de dien-ten, wrartoe hem zya Ambt les Zondag*
roept, nog wel een gedeelte van d en dag toewyden aan het ondtrwya van
deze Kinderen in den Godsdienst, oih heb gedurende de week niet van bust
werk af te 'leidsn. J
Onder e Kinderenwaar over de Heer Aalbers liet toezigt ain den Heer
van Egeretiin den omtrek van Scvenaer, heeft opgedragen, was een Jongen
aan de' vallende ziekte onderfce-Uig; niemand he.m willende behoudenhad
men regt, hem, volgens den inhoud van bet contract, naar het Godshuis
terug te zenden Ntyverig om hem te behouden en hem der gezondheid terng
te geven heeft de Heer van Egercn hem tot ziek'genomenen eene volko
men genezing heeft zyne ztio aanhoudende als belanglooze pogingen en zorg
bekroond!
In alle de huishoudens worden de Kinderen befchouwd alt «en gedeelte
van het eezin uitmakendezy zelve befchouwen bunne meesters als hnnne
naastbeftaandeen byna allen geven zy hen dién naam. Zeer weinigen uit
gezonderd, zyn zy uaar de landswyze gekleed, en worden gevoed en behan
deld als de Kindeten der opgezetenèn. Met dezen -onder een vermengd, van
den morgen tot den avondmet hen leerende en wekkendeis het zeker, dit
durven wy voorzeggen, dat zy die hulsboudeni niet xnllen Verlaten, dan
voorzien van alle de vereischte hoedanigheden, om aan den Land'.arbeidby
de Ambachten en in de Fabrykeo gebezigd ie worden; cetwyl de Godshuizen,
eindüykaan den St»»t nyvere en nuttige Borgen zulleu terug geven.
Alvorens dit rapport te eindigen, zy het ons geoorloofd, aan nwc Hoog.
h-sld de uitwerkfeleo van desz.elfs bepalingen omtrent het Aalmoezeniershui»
te-Amfterdaa voor te leggen; de honderd, welke.önverwyld op hun vertrek
flran daar ouder begrepen, heeft dat etablisfement in zeven Maanden tyds
- ht. honderd Kinderen op het Laud geplaatst; achttien - hor.derd bi wen er
r.}g-, en ztsrielf-honderd-zyn ter minne; doch door gedurige afzendingen,
termittderd dat getalen bysldien maatregelen van Politie dé toezending van
Kinderen van 'iodefe Departementen en Steden Voorkómen -en zevens het
vs flat én' dezer onnozele Sehepfcls -uioeijclylcer maken, znllaowy ons mogen.
tijendat deze iorigting eenmaal waafdiglyk aan de onfzaggelyke fommen.
su a»a de zorgen, die dezelve vcteischt. Zal beantwoorden.
Zoodanig iynMonfeignenr, de eerfte gevolgen der vcfrigtlcgèn van de
'.otbmlsflt, weHte uwe Hoogheid heeft dsargefteld, en die zy wal tb bare
vrrtzaantheden wil geleiden. Gelukkig, van daaraan verbonden te zyn,
-zullen wy znlks vry meer wtièi; Indieo door onze zwakke'pogingen6>"
ie goedkeuring nwet Hoogheid mogen vérdlttfen.
Het Is mét den dlepften eetbleddit wy de «er hehbea te zya,
MONSEIGNEUR!
Van uwe DoorluchpgelHóógheld'.yf
De zeer oederdaHgé cn gehoorzame'Dienaren
e VOLLENHPVEN, J. BERNTZ, -
Leden der Commisfie tot de Godsbuizen en vair bit~
Kift Uur van het Aalmotfeniers - Huis.
Voor kopy conform:
J. KOPS, Secretaris der Commisfie der Godshuizen,
Atnfieriam óen 3den Augustus 1811.
'-?• V 4-'
ADVERTENTIE aan het Pnblleh en aan de Beambten der Douanen.
- Op last van Myn Bbir dién Graaf xle Snsfy, bljvtnd Staat**-
V' raad0 DircË'tUr*gt7icraal der Douanen van bet Ryk.
Pè Request meester Ryks p baron ,>Dirc&eur-principaal der gemelde Doua^
Oéöu in de HoUaodfche Pepartementtn; v
t Herfnnerc het PubUek, dea, Kooplieden, Zeevarenden en de Visfcbera
aan de Béimbteó der Donanen 5 en aan allt aadcyenwies hèt verder bêtref*
fen mogts
Pat., in geen.ge val en oó w-elke oorEiak hét syb móge "ef eenigerlchfoorc
van' r«trlbu;tie noch in„ geldnoch in satura9 aan de Beambtfcn vin allerlei
ranjgen van.hetjtélief gedeelte def Douanen moet ivorden ingewilligd, bebon*.
den? de.ln<ii.emnlfeit, waar op zyfich aao. boord der Schepen bevindende P
oa dezelve te coovoijeerea s aanfpraiak kannen maken.
Dat niets ^in dc Bureaux der Douanen moet betaald werdén bóven het
by de tarieven en iegjementcn voor de in- en Uitgaande ilechten op de Scheep
vaart bepaal#; van welke coinmende Ontvangers;: onidergecoerleivoorwend-
fel sich onttrekken kunnen 9 qnitantie af te geevcn.
u Dat», metviiitzondcring v»n vyftien centime* vóór elk wezemyfc aangehecht
Loodin-degevaileji T waarin de piombeeiing if voorgefebree vende Beambten
Van den fedentairen dienst v«b allerlei ring insgelyks nieta 'ten hunnen byïon
deren voordeelen, moeten ontvangen. ix
D»t, al hetgeen de Be ambten der beide dleceten, dat ia alle de peifonen toe
de Douanen behoorende, Van welken rang ook, zich zonden doen geveo of
ontvangen zelfs on dar den niamvan gpfchènk, aangemerkt zo^ worden ale
kncv&ïary en niót Hechts door de afhellingmaar zelfs door zwaardere (trafo
fen j; naar vereisch der omftandightedeoy b'ftraft worden.
Dit het belang der particuHiren, in alléflei opzigten, Vórdert, fcorgvnldig.
dt Rekeningen banner ExpediteursMak^lua'rs ^Kapitèlnen of saaere Agen*
iten na te gaan, tea eindó \p bevinckhof de fotnmen, welke deze Agenten
voorgeven, aan-, de Bureatra; Cn :Betmbteii' der Doua'neh betaald te hebbent.
^bewezen wórdendoor "-acquitsof qi'! it actiënver mito zyia het tegenover»
gefteld geval, dc geacgde Rekebit'gen moeien yerwerpeö»
Eiódelykcdatingeval de Betmbtca dsr^Dcnaöeö andere of zwaardere
iTetributicni®Ogt.fn vorderen, ^iaa die vooi^ de piombering pemagtigdh.et
Opligt u V4n.de Peifonea, 'V*n welks men^czelVe zon willen 'eisfehen tvXk'
rt8 weigeren en aao-tien Plaatfelyken Chef kiagtig te vallen, dewelke de ge«=
melde kligte sal moeten omvapgea en die aan zynoa Snpericur overmeikc^.'
