Sn nommsnt aax dlfféreates places, S. M. recherché lei hommes qui
ttfinle.nl ei core des inciens parlemenser que leur Sge et leurs connaiiaan-j
ces jfendiieot susccptibles d'être employés dans les cours impériales; elle let
y i appelès de ton propre mouvement, donnant aiosi nne nouvelle preuve te
on deair constant de voir les francais onblier lenrs anc'enoes guerelles, et
icbever de se confondrc dans le, seul intérêt de la patrie et dn ttóae
ADMINISTRATION.
Blen des réclamations ont été présentées snr les limites de» différens dépar-
temens. II s'est mé me fait entendre des opinions qni vou Jraietrt tut atitifr
des grandes prefectures mix prefectures sctuelles; mals S. M. la» a rejettéts
et a' ptis poor principe de regarder coram: étabii et permanent cé qni a été
fait. L'instabilité détrnit tont. Une grande révolution a passé sur l'orgaói-
sation des départemens, e'est cornice un acte de propriété auquél S. M. ne
vent. point toucher. Ces départemens ont été formés, consólidés au milieu
d'impotansés circonstarrces qni ont rapproché leurs faabitauset ils resteront
toujonrs unis de mime.
L'administratlon communale s'est partout perfecrlonnée. I.es bndjets déli-
bérés en coneeil d'étic dirigent et censurent ainsi radminlstration de tontes
les communes de l'ernpirfi» qai ont plus de 10,000 ft. de revenn. Déjli la
masse de ces revenus s'élive i plns de 80 millions. Jamais dans aucun tems
et dsns auenn pays les communes n'ont été aussi riches. Par tout altleurs
l'octroi est une imposition souveralne: S. M. l'a iaissé aux commutes, sussi
tous leurs étsb'issemeos sq tiouvent dans le meilleur étst, et dans presqae
iputeson a entrepris li construction d'bdtelt-de- villede halles, de mega.
sfas publics, ou d'autres trsvaux qui dolvent les embellir ou sogmenter leur
prospétlté.
Les hdpitaux se sont partout améliorés: on pene dire qn'a tucnne époque
lis n'ont été mieox tenus. La chsrité s'exerce avec abondance, et les legs
acceptés au consrii d'état pour les fdpittux moufent I plusieuTs millions cha.
que apnée.
S. M. a approuvé et doté un grand nombre de coogrégatiors des Soeurs de
li cbarité, ayaot poor but d'assister les malades et de serVir les bdpitaux.
L'intemioo de S. M. est que toutes ces soeurs anient, pour les affaires reli-
gieuses, sous la direction de leura évéques, qui seuls ont le pcuvoir' de se
méier du spiritnel dws l'étendt.e de reur diccèse. Aucnne congrégation
sous qnelque pré exte que ce soit, oe'pent ni ne doit te sonstraire I Uur
Jurisdiction.
Les depóts de mendicité ont été créés dans £5 départemens; daes 32 ill
scbt déji ca activicé et dsns ces 32 déptrremeus il n'est plus permis de
tfendfer. Cés dépots out encore besoin de se perfectioneer, afin que les
tiavaux y solent b-.en établis, et qu'ils paissent ilors subvenir k ia plus grande
partie de lenrs dépenscs.
INSTRUCTION PÜBLIQUE.
L'uriversité a fait des progrè». Quelques lycées étaient mal 'eónstitués: les
princiVes de la réllgiotfondement de toute Institution comme de tonte mo
rale, en étaieat écarté», cü étaient ftiblement pratiqués. Le grand-mrltre et
le nt seil de Punlversfré ont rémédié k li plns grande partie de ces abus. B'ien
des hoses cepettdibt res tent k faire pour réiliser les espérances et les vues
de l'Empereur dans cette grande création.
t" - T -
L'éducation de familie est célle qui mérite Ie plus d'encouragementmail
puisque les parens som obligés de coofier si souvent leurs enfans k des col
léges ou k des Institutionsl'irircntinn de l'Empereur est que ^'Organisation
de l'université s'étende k tons lts colléges et anx institutions de tons les degrés;
afin que l'éducation ne soit plns comme une manufacture on une branche de
commerce exercée dans lés vnex d'intérét pécuniaire. Diriger l'éducation est
nee des plus nobles fooctions de ^ére de familie, ou nn des prinefpaux buts
éts instlmons natlonales. Le nombre des lycées ec celnt des colléges commu-
bsdx seront augmentéset le nombre des institutions particulates sera gra-
dutlkment diminué, jusqn'an moment oü elles seront tontes fermées.
Toute l'éducation publique doit ie régir par la discipline militaire, et non
par la police civile on eccldslaatiqoe. L'habitnde de la discipline militaire
«at la plus utilepuisque dins tons les états de la vie, les citoyena ont besoin
de pouvolr déféndre lenrs propriétés contre les ennemis intérieurs cu exté
rieure.
II faut dix an3 encorepour que tont le blen qua S. M. attend de l'univesité
soit réalisé et pour que ses vues soient accomplice; mils déjk de grande avan-
tagea coat obtenus; et ce qnl, existe est préféiable k ce qai a jamais existé.
"Poor l'institntion primaire des enfansS. M. Volt aves plaitlr l'établissement
ies petites écoles; el'e en désire la propagation. 'I
Indépecdamraent des maisons de Saint-Denis et d'Ecooen, six maisons ont
été instituées ponr l'édncatipn des fillesdont les pères se sont dévonés an sir-
Vice de l'état. I
SCIENCES ET A R»T S. j
La déconverte de l'ilguillê simantée a produit nne révolution dans le com-
■ïerce: le snere a détrnit l'usage dn miel, l'indigo celnl du pastel. Les pro
grès de la cbimie opèrent dans ce moment une révolution en sens inverse:
tile est parvenue k tirer le ancre dés raisins, de l'érable ét de Iabetterave. Le
fistel, qnl avaitenrichi le Langnedoc et nne partie de l'ltalie, msis qui n't-
valt pu dans l'enftucede l'art, sontenir la concnrrence avec l'indigo, reprend
I son tour le dessus11 chlmie en extrait anjourd'hni nne fécnle qui lui donoe
snr l'indigo l'avantage dn prix et de la qualité. Tontes lea branches des sicn-
ces et ar» se perfectionnent.
TRAVAUX PUBLICS.
De grands travanx sont entrepris depnis dix ans, et se ponrsulvenr chique
année avec un nouveau zèle et un nouvel accioissement de moyens. En 1810,
cent.trente-buit millions ont été affectés k ces travaux; cent-clnquantc-cinq
le tont en iGir.
Tableau comfaratif its dip en fes pour lts travaux publics 1810 tt 1811.
OBJETS DES DEPENSES. MGNT. des DEPENSES.
Ministère de la guerre. En 1810. Zn 1811.
Construction, de places et de nonvesnx- ou- francs. francs.
*ragei16,984,000 *4,670,000
Ministère ie la marine.
Ouvrsges hydrauliqaeitravanx des bassins
«t des ports6,757,840 7,000,000
Ministère de rintlrieur.
Constructions neuves dans les établissement
fnblicsécole des arts et métiers réparstioaa
•te- 1,095,454 10,678,000
Posits et ehaussies.
16,299,413 40,580,635
Pon». 4*505,7'! 5,Ior,!72
Navigation ctnanxdesséebemens21,621.735 18,715,947
Fors de commerce, digues k la met, polders. 7,853,486 4,218.62»
Travanx de Paris et dei pala!,22.330,753 28,007,836
Trsvaux dana les villes des département. 19,745,075 20,200,000
Mimsterfi éts cultts
Conatrucfloa et réparition dei égliset. 1,977,860 *,728,788
Ia de bssoeaaiagao tot it onderfcheideoe postenheeft Zynt Majeft'clt
mannen opgezocht, die nog van de oude Parlementen in leven zyoen die do»r
lip nne fisrén en kundigheden bevoegd waren om in de Keizerlyke Geregtsho-
ven grbrnik-re worden. Zyne Majefttit heeft ben nit eigene beweging opgerot,
peedsar door een nlenw bewys gevende van zyne (Uodvastige begeerte om det
Frarftben hunne onde gefcblilen te doen vergeténen hen geheel te vereenlgea
in het eenige belang van het Vaderland en van den Troon.
B E S T U U -R.
Er éyn veele infpraaken aangeboden ter zaake derGrensfcheldlngen van de os.
derfchéidè Depjrtementen; zelfs heefi men hier en daar het gevoelen genlt, dit
men gfnote ?r. frituren in plaats van de tegenwoordige, wenschte gefield te heb-
ben:, maar Eyné Majefteit heeft dezelve verworpen, én tot grbndbeginfel aange
nomen, als gevestigd en duurzaam te befchouwen het geen gedaan is. De od.
ftaédvanigbeld vernielt alles. Er heeft by de organilatie der Departementcg
eene grböté omwenteling plaats gehad: dit is ais btt ware eeue aftï vkti ei|ea.
dom'Welke Zyne Majefteit niet wil tanraaken. Deze Departementen zyn ge
vormd en in een vasten fttod gekomen, te midden van zeer gewigtige gebeur-
tenisfendie derzelver Inwoners tot elkander gebragt hebbenen zy zullen altyd
vereenigd blyven.
De Gemeeótebeftoreo zyn alom tot volkomenheid gtfbrkgt. De Bndjets, li
den Stans-Raid overwogen, regelen en beoordeelen alzo het beftnnr van alle
Gemeenten in het Ryk, die boven de 10,000 Francs inkomen hebben. Reed»
loopt de geheele fom dezer inkomften boven de 80 Millioeden. Nimmef zya>
in eenigen tyd of in eenig land'(Ié Gèmeenten zo ryk geweest. Overal eiders is
het oftropi eene voornaame heltstiog Zyne Majefteit heeft dit aan de Gemeen-
ten overgelaaten. Ook bevinden zich allé derzelver Stichtingen ïn den bejtïir
(iaat; en bynt in alle heeft men het bouwen van StadbnizenHallenalgemeene
Magazyaen, of anderé wérken die tót derzelver verïrsaijing of welvaart moti-
ten diepenood*rt|otn^g,r iA -
De. Ziekenhmzeri zyü oy'èf}l"verbeterd: men mkg zeggej^, dat zy in Mén tji.
perk in beteren ftahd Zyn geweest. De liefdadigheid wórdt overvljedig be-
tracht; en de erfaiaakingea aan'de Ziékénhnized, door den Staats-Raid aisge-
nomen, beloopen jiarlyks etteiyïe Millioenen.
Zyne Majefteit hééft een groot aantal Gemeenfchappen der Zos,teren van Lief.
dadigheid, die het helpeh der Zieken en den dienst der Ziekenhuizen,ten doel
hebben, goedgekeurd en begif/fgd. Het is Zyner Majefteits"oogmerk, det aUe
o'ndét het béftuur harer Bisfchoppen zullen
deze Zusters in geestelyke zaakeii,
ftaan, d;e alleen het recht hebben-, om -in de njtgeftrekthéid banner Bisdom,
men, zich met het geestelyke te bemoeijén. Geenetlei gemeénfehap kac of mag
zich, onder wat vnorwendTer ookaan hnn Rechtsgebied onttrekken.
In vyf-en-zestig Departementen zyn Stiéhtingèn tót wering der bedelary op
gericht; in twee-en-dertig zyn dezelve reeds in werking, en in deze twee-en.
dertig Departementen wo-dt (iet bedelen niet meer toegeltaten. Deze Sticbtin.
gen hebben nog eenige volmiakiog noodig, ten einde aldaar de werkzaamheden
op een goeden voet gebragt wórdenen zy dan voor het grootfte gedeelte haate
onkosten kannen g^edmaaken.
OPENBAAR ON DE R W Y S.
De Univeröteit heeft vorderingen gemaakt. Eenige Lycrën Wares flecht In.
gericht: De beginfelen van den Godsdienstde groadflag van alle onderwys
zo wel als van. alle Zedekundewaren van dezelve verwydérd of wierden liaan-
welyk beoeffend.
De Grootmeester en den Raad der Univeriiteit hebben het grootfte deel dezer
misbruiken herfteld. Intnafcben blyven er nog veéle zaaken te doen, om de
hoop en de inzicteii des Keizere in deze groote febepping te vervuilen.
De hnishondelyke opvoeding verdient de meeste aanmoediging; mtar dCwyl
de Ouders zo dikwerf verpligt zyn hunne Kinderen aan Collegien of InftitUte*
toeiebetronwen is bet de meeniBg des Keizers, dat de organifttle van de U*i-
veifireit zich nitftrekke over alle de Collegien enlnftltbten van alle de trappen,
op dat de opvoeding niet meer zy als een Msnufsftuur, of een tak van Koop
handel, uitgeocffend met oogmerk, om geld te Winnen. De opvoeding ré rege
len is eene der edelfte pligten van een Huisvader, of één der vonrnaaiufte oog
merken van de Nationale IbftrtqtenV Het getal der Lycéen en der Gemeente-
Collégien zal vermeerderd wordenrerwyl bet getal der byzondere Inftitnten
trapswyze zal verminderen', tot bet tydftlp dat zy allen zullen gefloten zyn.
Alle publieke opvoeding moet beftuurd worden naar de Militaire tucht, en
niet naar de bureerlyke of geestlyke politie, De gewoonte aan de Militaire
tnchr is de nnttigfte, om dar in alle ftanden des levens dé Burgers nodig heb
ben om hunne eigendommen tegen binnen- of bditenlandfche Vyanden te kannen
verdedigen.
Er zvn nog tien Jaren nodig e'er al het goed, 'dat Zyne Majefteit wagt, van de
Uhivérfiteit ia dtargefteld, en zyne oogmerken vervuld; maar bereids zyn ear
groote voordeelén verkregen; en hetgeen beftaat ié verkiéslykerdan hét geen
ooit beeft beftaan.l
Voorher grond-onderwys der Kinderen ziét Zyne Majefteit met vermaak de
Inrigrio? der kleine Scbelén en verlangt er de vermeerdering van.
Behalven de Huizen van Saint Deuis en Econen zyn er zes Hsizen beftemd
voor de opvoeding der Meisjes, wier Vadert zich aan den dienst van den Staat
hebben rewyd.
KUNSTEN EN WETENSCHAPPEN.
De uitvinding van de Zeilfteen-naaide, heeft eene omwending inden Kóóp
handel re weeg gebragt: DeSoiker heeft het gebruik van de Honing, de Indigo
dat van de pastel vernietigd. De vorderingen in deScbeiknnde bewerken op dit.
cogtnblik eene omwending in de omgekeerde reden-: dezelve beeft geleerd,
Suiker uit Druiven Ahorn én Beetwortel te trekken. De pastelwelke Lan
gnedoc en een gedeelte van Italië vérrykt had, maar die, in de kindsheid der
Ttnnsthet niet tegen de Indigo kondè uithouden,, herneemt op haar beurt de
overhand: De Scheikunde trekt er tegenwoordig eene aap nit, die haar den
voorrang In prys en hoedanigheid op de Indigo gcéfe. Alle de takken van Kun-
ften en Wetenfch.ppen volmaken zich.
PUBLIEKE WERDEN.
Sedert tien Jaren zyn er groote Werken ondernomenen worden ieder Jaar
met vernieuwden yver en een nieuwen aanwas van middelen voortgezet. Iu
1810 zyn er aan deze Werken honderd agt-en - dertig Millioenen hefteed en hon
derd vvf. en - vyftig in 1811.
Vergelykingstafel der Uitgaven voor de puhiieke Werken in 1810 s» 181 r.
VOORWERPEN VAN UITGAVEN. BELOOP der UITGAVEN.
'38.14'.727 i54-90',cOo
An m:lt*n des güerrea, des dépenses, qne Eéeéssireet des srmées immensEs,
la créstlcü et l'organisstlon de flottes oombreuses lts sterrflees que fait le tré-
jor irapérial ponr les travanx pnHics sont tel*, qu'ils snrpsssent dans une
genie année tout ce qni y était employé sous l'sneteoce monarchiedans une
(énération.
T+ r *A* LIGATION S.
Ure grande partie du cea dépenses a pour but la création de nouvelle* places
forteace sont des travaux fsits en favenr de l'avenir ponr eonsolider et forti-
§er. l'Empire.
One place dn second órdré est'.fondée sn Texel, ponr défendfe l'smborclinre
dn Zpidetzéetroia mille hommes potirront y scuteoir nó siége c'e plnsieurs
mois. Anver». Rreskens, le fort impérial de C«dsand. Willemstad, l'Bdnie
ja Saa-ae-Gind sont déji d'lmpcsintes barrière»;Flóisiagueen ton té» de
Jliniflcric van Oef log.
Aanleg van Plaaifen en vin nieuwe Werken.
Minijlerle van de Marine.
Waterwerken, Werken aan de Dokken en Ha
vens
Miniflerie van hinncnlandfcht Zaken.
Nieuwe bonwing ln de publieke Gedichten.
School van Kunstén en Ambachten, Reparatleo,
In 1810.
francs.
16,984,600
5.757,849
In iöft.j;
francs.
22,670,000
7,000,000
Bruggen en fPegen.
WtfW.
Btuggen.
ZeevaartKanalenDroogmakingsn.
Havens van Koophandel, Zeedyken en Polders.
Werken van Parys en Paleizen.
Werken in de Siedeh 'der Departementen.
Mintjlè'rïe dlr Reredlénflen.
Bonwen en repareeren der Kerken.
«a09<f,254 12,678,000
36,299,213
4.505 7"
2i,6»i.73£
7,823,48s
22,330,753
'9>745>Ó75
40,580,635
5,JOI,!72
18,715 947
4,218,622
28,007,836
20,200,000
r,977,860 4,728:788
1-38, '4', 727, 154,901,020
Te midden der Oorlogenzvn de diegavendie ontzagiyke Legefshet bon.
wen en organlfeeren van taltyke Vloten, de opofferingen welke de Keizeflyke
Schatkist Voor de publieke Werken dóetnoodzaaklyk maken, zodanig, dat
dezelven in één Jaar alias te boven gasn Wit er ondér de oode Monarchie in eee
geflacht befteed ia.
FORTIFICATIËN.
Een groot gedeelte van deze uitgaven-heeft^ten -doel bét bouwen v*n nicowt
ftetke pliirfcn: het zyn Werken, gemaakt ten voordeelé der toekomst om hét
Keizeriyk te bevestigen en te verfterfeen.
Te Texel ia er eene plaati ven den tweeden rang aangelegdter verdeédigin'g
van den Mond der Zuiderzeedrieduizend Man zollcn er eene belegering vtn
vcrfcheiden Maanden kannen uithouden. Antwerpen, Breskens, het Keiurlyk
Fort ven Cidfindd« WlllcmftadtSluis, Si* van ©ent, aVo rééd» outrtg-
