t Rol. Cependact tont Ie monde étoit encore d«ns i'atten'e, Elle fat
réallaée 4 scpt bcures et derate, et roalgrd l'heöie avancce dn. soit M.
dalyos recevoir les hommages des anrojirés. Mr. l'adjoitt famnt lts
fonctions de maireeut I'honnenr de faitè Ia presentation des clefs «vee
on discoars que Ji. M. dsign* accaeiillr fevorablement. Elle. adressa plu-
tleurs qüestioiis tanr 4 Mr..14 président dn tribunal de première instance
«u°4 Mr. l'adjoint.maireet contiana ia roote «o alt-iep des acclamations les
fdus vives de la population entière. Touces ies raaiscns qni te trouvaieoi sur
e passage de S. M. forent sy ontaneimenr i fnininéesle sfpqtbe are" de
triompbe, èiévé snr'la' p&ce l'était pareülement; le clerge se teoait anx
pot tea de 'ses témpier; ies orpbeliua et les babiians de divers hotpiCej-se
tronvalent sar ie pissige .'e L. L. M. M.ia garde d'honnenr a escort*
l'Empercor jos'qu'a tnomé chetriin, ccmme elle avait escorté I'Impérytice
la garde nationale et ia jirnjson étaieat sous les armes, "er rien ne pent
nobs consoler ne n'ivoir paa pn jonir pins longtcmps de la présence deL.
L. M. M. si ce n'est l'espoir Auteur de les revoir bleniót parml nous.
URK le 17 Octobre. Qaoiqne ne faisant qu'nne Commune de pan-
vrea inala d*lndnatrleux Pêcbtars, dana une He an milieu dn Zuiderzee dos
.eoeura n'ont pis molm été remplis dn zêlejle plus ardent 4 partiger Ia joleet
l'sllegresse sincere, qufprouve ehtqne sujet en Hollande par la visite tgréa.
bic de LL. MM. II. et RR. notre cberEmperenr et Imperatiice le plus grand
^Reros et Monaique et la plua benigne bienfaitrlce de ITÏurope. Dès l'in-
atant que nona apprimes le voyage de S. M- poor le Helder, nous resölva-
mes de celebrer nn jonr de jole, antant que notre petite fortune le pou-
vait peimettre. Le pavilion Imperial tricolor fnt sutpendu de la Maison
commune, ce qui füt anivl b l'lnatant par les habitans particulier*tinsl
que par les Bailment peefceursqui sc tronverent au rfvage. Vieillarda et
Jeuoesse, "tons'te réunirent dans un Magazlu vuide, designé" par le Maire
I eet éffet, et a'y rejouirent «vee un morceau de pain er na coup de Vin,
go'ila s'etaiènt proenréa par leur petite épirgue. II daaserent et chinrc-
rent. Lei vive i' Empereurvive l'Implratrice 1 vive NAPOLEON! vive
MARIELOUlflE furent les refrtins succeisifs de leur dinse «t chant
•t le soir lis ont allumé dei feux de Joie et illnmlnéautiut que leut
fortune le laur permetttit. Le Miire et le Mlnistre de l'Eglise, «tnsi que
les prin'cipanx fonctionnairei publics dlrigetient cette franche et touchinte
ulennitè. C'est linsl que dei dignes Souveraln»des Chefs blenfiisms
vivent constamment dana tont let coeurs. Leurs uoms et Ieurs actions
aont répetés en beaedicttomet voués i ï'ïmmorralité antant par 1'baM-
jaat des Palais que par celnl d'one pauvre cbaumière!
A M ST E R DAM le, 17 Octobre.
EXTRA1T des minutes 4e la Secretairetie d'Etat.
Aa Pallia 4"Amsterdam le 10 Octobre 1811.
NAPOLEONEmpereur des Franpais Rol fltalie, Prstecteur de la
'Vonfl deration du Rb in Uidiateur de la C'orifideraiion Suisse etc. etc. etc.
Sur le rapport de notre Minlatre de Finances,
Nous avons décrètè er décrctoni ce qui anit:
Art. rer. Pour tons les èffeta de'la dettt pnblique Hollandiise, dont l'in-
ecription au grand'llvre de Hollande n'tura paa «té feite au aa Séptembre
1611, notre Cooaeiller-d'état Intendant-général dss Finances et du Trésor-
imperial en Hollande féra rcmettic 4 cheque créancler, I commencer de la.
iite époque, par lei rec'evcnrs-généran'x actuellement chargéa de l'émlsslon
des certifiers des srréragei dé la dette pnbliquenn certfflctt dei ren-
tes dues peur le sénvettre écbu le aa Septembre 1811pateil k celui qni
aora été étuis poer le tctaeitfe du aa Mars er cenformément iaux disposi
tions contenues dans let'art. e et 3. de nouc déciet du 6 Févrlèr '1811.
3. Pour les trtérajéa de la dette Hollapdaise doe anx habitans de la Zé-
lande do Btabant et dn quartier de.NÏmégue, dont nona avons ordonué
le pak-meot par notte décret du 13 Févrïer 1811, et pour lea emprnnts faits
«ut les doma'nes en HoUaede qui ont cté déclarés faire partle de la dette
pub que Holiandaisc par notre décret du ao Aoüt i8ir, seront, également
émit dei ccïtificats des rentes does pour le sémesrie échn le aa Septembre
1811, et ce par les anciens comptables chsrgés dn paiement de ces dettes,
et sous ls surveillance de notré Cocseiiler^réiat Intendant-géaéral dei Fi-
nanets et du Tté or Impérial dn Hollande.
3. Les effeta désignéa par l'art. 3. de nötre décret en date du 20 Aoüt
demitrconsrne faisanc parrie dc la dette pnblfijne de Hollande aont tssi-
tniiéapsr rapport «n paiement des rentes arrlérées k ce qui ast atatné k
cpt égard par Ic décret dn 03 Septembre 1810, le ptfemenr des rentes des-
dus fS ts échus le 32 Septembre I8rr, se fera dc la mtnière qui 1 été
yresctite par les articles précédent.
4. Le m'ltre-dcs- reqttïtea direcrenr du grind Ilvre de la dette publiqtie
de Hollinde fera délivrer des certificits pircils i chaque porteur d'inscrip-
tlona k ladite époque du aï. Septembre.
'5 Le paiement des certlficats émis ponr le sémestre dn 22 Septembre
ic fera despite en numéraire par le payeur des dépensea k Amsterdamet
«ons lei précaution'f ordonnées par l'article 6 ie notre susdit décret du
Février 1811.
6. Le miltre-des-requétes directeur de la calsse centrale k Amsterdam,
fera cffeerner le paiement dont le payeur des dépenses diversea 4 Amster
dam eat chargé, sur lei litres bebdomadairés des certificits émis qui lui
«eroot trlnsmisea en cbioformité de l'art. 7 de notre siisdit décret.
7. Noa mloletréi da tréadr Impérial et des fioances sont chargés de l'exé.
cation du présent décret qui len inseré nu bulletin dés lois.
C ti'gBéy H A P O L E O N.
Vil l'Empercur,
Le Ministrs Secretaire d'Etat
<1 '?»<0 Le Comte D A R
Ponr Copia conforme
'Le Uinistre iet Finances
Le Due DE G A T
AMSTERDAM Ie 18 Octobre. Hier aolr, S. M. l'Empercur et Rol est
Kfitré dao« cette ville de la touroée qa'U 1 faite an Helder.
LA HAY?- le 18 Octobre. Mardi les Coascrtta de la clasic de 180^ ap-
pelés pour le dépirt, out été rénnia 4 prefecture.
Us détacbemeoc de icS hommes a été dirigé ikr le ii régiment d'ln*
fantetie légéte.
Avant ds se mettie en toutaHa ont portéen présence de Mtmslenr le
Préfct, un toast k S. M. 1'Em.pereur et Rol et Ui ont fait teteatir l'alr
des cria de vive Napolion le Grandila ont été accom'pagnéa jusqn'k la
barrière par la musique de la garde nationale.
Lei ico Corscrits partis ce matin et dirlgdq-itur Ia Marine ont donné les
mémes témóignsges de dévouemcur et d'enthonk'iiame.
LEIDE Ie 20 Octobre. Les Lettrea de Vienae du 5 de ce vols contien-
qent lei Non.ellsa snlvautes:
Neus avons senti bier vers dix heures du matin deux secouaaes de
arenibiement '!e terre aisez considerables. E1,e» out letablé venir 'do sud
et snivre la direction du notd-ouest. II n'est arrivé aucuo accident dans
cetie ville, au moins nous n'tvona encore enteadu ptrler de rien. Nous oe
««voos pas cc qui a'est passé dans li campigne. J1 y aura sans douie dei
détails et des observations sur eet événement bien vare dans nos contrées et
touj-mri inquiétant."
On cn it enlio ssvoir que la résolntiou des Etats d'Hongrle, portint que
la vsi-selJe d'sr et d'atgent des fidiles Kongrnis sera portée k la monnsie,
est apprcit'ée pat S. M. l'Empcreur, kt que les sommes qui en résulteront,
stront cxclusivement employees k retirer de la circnlation leur équivalent
en billets de banque et d'échange. II paralt se cönfiimer aussl que Is Na
tion Hopg alse tccorde au gouvernement cinquante millions de florins en
«spèccs sonntntes, maia aous la condition expresse que tout papier-mon-
nsje sera réilïé eniiéremant de la circulatinn oaus un lenja determine, er
qn'il n'en sera plus crée de nouveau. Cette resolution dolt avoir éte son-
tatse k l'ir probation de .'Bmper-ur."
les tétolu'ioos de la diéie qui ont pe'cé dtna le public, Influent d'une
mantère fort avantsgeuae sur le change. Tons les ndgociins du Levant qui
et troovest 4 Vieane., .ns vönïaient traiter qu'en billets de banque, valeor'
du cours d'Anfsbontget stik dep nis long-tt ma. lis ont ploi da confi-
hopen. Niettemin bleef iedereen nog in verwachting. Dezelve wierl tas
h«.f 8 vetvuld en hos zeer het reeds !««t In dea avond ware, behaagde be
echter Z. M. fuasctglyk de hulde der Overheden te ontvangen. D« Het
adjunct .waarnemende den post van Maire, had de eer Z. M. de fleste!» ai
te bieden met eene Aanfpraak welke gunstig wierd aangehoord. Vervolgen;
deed de Keizer Verfcheide vragen zo aan den Heer Voorzitter van de liegt
banic ter cerfU: Intlaotie als tanden Heer Adjunct-Maireen vervolgde zj
aen weg onder de levendigfte toejuichingen van de geheele Stad. Alle de Hul
zen waar Zyoe Mijt. voorbv moest, wierden eigcnwlltg ve'licbt; de frasim
Eerepóort, die op de Markt was opgerigt. wssgn aliqryl geïilnmineerd; d
Geestelykheid ftond aan de deuren der'Kerken de Wezen en de bewoonden
der onderfcheide liefdadige Geftichten ftonden op den weg van H. II. M. M..
de Eerewachr heeft den Keizer tot op halfweg begeleideven als zy de Kei
zerin begeleid had; de Burgermage en hat Girnlfoen Honden onder hit Ge
weer; en niets kan ons troosten wegens het gemis van een langduriger ver
blyf van H. H. M. M. dan de vleijendé hoop van dezelve welhaast weder it i
ons midden ie zien.
ÜRK den 17 October. Hoe zear flegta uitmakende «ene armoedige, doel
ayvertgc Visichers-Qemeeate op ecu Eiland te midden der Zuiderzee, zyt,
ook onze harten niet minder vervuid geworden van dsn volden yver om det:
te ne'meo in de'oprègte vreugde en blydfehap, die elk Onderdaan in Holland
gevoelt by bet heuebgelykat bezoek HH. KK. en JCK. Majefteiten, onzen gei
liefden Keizer en Keizerin, den grootilen Held en Monarch en de Zegenryk.,
fte Weldoeniler van Europa. Zodra hoorden wy niet dat Zyne Majetteii
naar den Helder op reis was, of wy befloten een dag van Vreugde te vieren
naar ons best vermógen. De driekleurige Frinfcfce Keizerlyke Vlag wiert
van het Raadhuis gedoken, ds byzondere Inwooners volgden dit dadelyk"
gelyk ook de'Vis'fchers Schuitendie voor de Wil lagen, die deeden wip-
peren. Ouderdom en Jeugd vergaderden la een ledigMagazyn door de Melr
daar toe aangewezen,en vermaakten zicb onderling met een beeceBrooda eaeei
teng Wyn diezy door den Spaarpenning'byeen gebragt hadden. Zy danstei
en zongen Het Lee ve de Keizer en keizerin! Letve NAPOLEON l Leevt
MARIA LOUISA! vervangden telkens hunnen Dans en Zsng, tetwyl zy te
vens 'savonds Vreugde-Vuren hebbea gedookt en geïllumintscrdzo vern
hun vermogen toeliet. De Maire, de Predikant en de voornaamde Landbe
dienden bedierden deze tandoenlyke en gulhartige plegtigheid. Zo levet
waardige Sottvereinen en weldadige Opperhoofden deeds in alle harten. Zt
wél by den Pileiibewóner all in de fchimele Hut, wordeu hunne omen ei
daadea in zegening vermeld en dér OndcrSelykbeld gewyd t
AMSTERDAM dca 17 Oftober.
EXTRACT uit de minuten der Secretary van Staat.
In het Paleis van Amderdamden 10 October 1811.
NAPOLEON, Keizer der FranfcbenKoning va'n ItaliëBcfchcrmer van he,
RbynverbondBemiddelaar van het Zwitfersch Bondgenootfebap, enz. tnz.eo»
Op het rapport van onzen Minister vtn Fintntlen;
Hebben wy gedecreteerd en decreteren het geen volgt:
Art. 1. Onze Staatsraad Intendant-Generaal der Financiën en van de Rel
zerlyke Schatkist in Holland zalvoor alle de Effenen der publieke Scbnli
in Holland, welker infehtyving op het Grootboek van Holland op den an Sep
tember 1811 nog riet gefchied i», aan elk* Schuldvorderaarte beginnen va
gemeld tyddlp, door de Ontvangers-Generaal, welke thans met de nitgift
der Certificaten v»n den acbterdsnd der publieke Schuld belast zyn, doe
afgeven een Certificaat der verfchnldigde Renten voor bet half jaarverfcht
nen den aa September 1811, gelyk aan dat, hetwelk voor het half jaar va
den aa Maart, en overeenkomstig de bepalingen, vervat in de Artikelen a e
3 van ona Decreet van den 6 February 1811, is afgegeven.
2. Voor den aebterdand der Hollandfche Schuld aan de Ingezetenen va
ZeelandBrahand en het kwartier van Nymegenwaarvan wy de beuling b
ons Decreet van den a3 February 1811 bevolen hebben, mitagadera voor c
ligtingen, op de Domeinen in Holland gedaan, welke, by ons Decreet va
den aoden tAngnstua 1811 verklaard zyn, een gedeelte der Holla&dfcb
Schold nit te tanken, zullen insgelyks Certificaten worden nltgegsven vat
Rentenverfchuldigd voor bet half Jaarverlcbenen den aaden Septembe. j
1811, en zulks door de voormalige Comptabelen, belast met de betaling de
zer Schalden en onder toezigt van onzen Staatsratd Intendant-Generaal dei
Finantlen en van de Keizerlyke Schatkist in Holland.
3. De Effeften In Art.3. van óns Decreet, in dato den eoden Augustus 11.
vermeld, als een gedeelte der publieke Schold van Holland uitmikccde, woi
den, Wat betreft de betaling der achterdallige Renten, gelyk gedold met hf
géene te dien opzigce ia vaatgedeld by Decreet van den ngdenSeptembcr iSk
De betaling der Renten van gemelde Effeéten vcrfchenen den enden Sc;,
tember 1811, zal plaats hebben op de wyze, by de voorgaande Anikelt
voorgefchrevcn.
4. De Requejtmeefter Directeur van het Grootboek der Publieke Schuld v>
Holland zal gelyke Certificaten doen afgeven aan eiken Houder van Infer!)
tienop gemeld tyddlp van den aiden September.
5. De betaling der Certificaten, afgegeven voor het halfjaar van den 22de
September, zgl dadelyk contant plaats hebben door den Peyeur der verfchi
lende uitgavente Amderdamen 'onder de voorzorgenbevolen by Art.
van ons bovengemeld Decreet van den 6dea Febrnary 1811
6. De Requestmeester Directeur der Centrale-Kas, te Amderdam, zsl c
betalingwaar mede de Payenr der verfcbillende uitgaven te Amderdam beiascit
doen volbrengen nit de Weeklyaten der afgegeven Certificatenwelke aan het
zullen worden overhandigd, overeenkomdig Art. 7. van ons voormeld Decree;
7. Ooze Ministers van de Keizerlyke Schatkist en der Finantien zyn belts
met de uitvoering van her tegenwoordig Decreet, hetwelk la het Bolletin del
V/ttten zal worden geplaatsl.
geteekendNAPOLEON.
Via wege den Keizer,
De Minister'Secretaris van Slaat
(geteekend De Graaf D A R. U.
Voor eensluidend Affchrift:
De Minister van Finantien
De Hertog VAN GAËTA,
AMSTERDAM den 18 October. Gister avond is Z. M. de Keizer en Ko
ning van Hoogstdeszelfa ultdspnear den Helder, in dezeStad terug gekomen.
DEN HAAG den 18 O&nber. Dingidig zyn de Conscrits van de klatfè
van 1809, tot het vertrek geroepen, aao de prefecture yereeaigd.
Een Detachement vaa 108 man ia naar het 11 de Regiment ligte Infanterjr
gerlgt.
Voör zich op weg te begeevenhebben zyIn tegenwoordigheid van Myn
Heer den Prefect, een tont aan Zyne Majesteit den Keizer en Koning roege-
bragt, en hebben de laebt doen weergalmen van de krecten leve Napeleen de i
Groote Zy zyn tot op de Grènzeft door het Muzyk van de Nationale Garde
vergezeld geworden.
De too Confcrlts, dezen morgen vertrokken en voor de Marine gefchikt,
hebben dezelfde blyktn van verknochtheid en geeatdrifc aan den dag gelegd.
LEYDEN den 20 Octobet. De Weener Brieven van den 5 dezer behel-
zen de volgende nlcuWatydingen
Giater ochtend omdreeks tien nnren hebben wv twee vry detke fchokken
van Asrdbeevlng gevoeld; zy fcheenen vin het Zniden te komen, en etnh
Noordwestelyke rigting te volgen, In deze Styd la geen ongeluk gebeurd; al-
thans men heeft nog nergens van gehoordwat op het Land gebeurd is weet
men niet. Zonder twyffel zullen er wel byzonderbeden en waarneemingenuit-
komen over deze gobenrenisdie in onze dreeken vry zeldzaam en altoos om
tastend is." -■
Men meend eindelyk te weetan dat de Refblntie der Standen van Hoaga-
ryenbehelzende dat het Goud en Zilverwerk der getrouwe Hongaaren naar
de Mnnt zal gebragt worden, door Z. M. den Keizer is goedgekeurd, en dat
de Geldfommen, welke daar van zullen komen,by uitfluiting znllen,gebezig0,
worden om voor eene gelyke fommeBsak-en Wisfel-biljetten buiten omloop
tr. brengen. Het fchynt zicb ook te bevestigen, dat de Hongaarfche Natie
50 Millioeoen Guldens klinkende Munt ,a» bet .Gouvernement toeft-ast, doch
onder uitdroklyk beding, dat slle Papier -munt binnen een bepaalden tyd ge-
geheel buiten omlocp gebragt en geen nieuw ingevoerd zal worden. Dit her
flair moet aan de goedkenring dei Keizers voorgedragen zyn geweest."
De beflnlten van den Linddagdie in het pnbliek uitgelekt zyn hebbest
cencn vnnrdeellgen invloed op den Wlafel. Alle Levantfcbe Handelaars,
zich in Weénen bevinden; Veilden fedért langen tvd niet snders bandelen dah
io baak-biljetten, -volgen» de coqrs van Angaburg. Thans hebben zy meer
