raient nos bidmens et rateerxlent nos places de Bordeaux de Nintes
d'Amsterdamde Marseille, tie Gêne», de Livonrne de Veoisej de Ni-
pies, de Triestè, de Hsmbourg, comme i!s l'ont déjk fait: une telle paix
,e seisit qu'un piége tendn it notre commerce; elle ne seralt utile qu'a
l'Aoeleterrcqui retrouverait un dé'iouché poor son commerce, tt qu.
cbungerait le systême continental. gage de la p«ix est dans ^existence
it notie flotte et de notie puissance maritime. Nous poarrons fsire la
psix avec tftreté quand nous aprons 750 vajsseaox de ligne; et malgré les
entraves de la guetrela situation d; t'qmpire e6t telle qu'avanfp.-u nous
anrons ce noipbre de vaisscaoxl Ainsi la garantie dc noire flotte et cellt
d'une administration anglaise fondée sur des principes différens de cenx da
cabinet actnel, peuveot srtris douner la paix k l'univers. Elle noua seraït
utile sans doute, mats elle est désirgbie sous toute espèce de tspport;
bous ditons plus» le continent, le mooie entier la réclament; mais noua
avons une cooaolation, e'ett qn'c'.lc est bi=n plus déslrable encore pour
nos enaemis que pour nous, et quilqties efforts que fasse le ministère an.
elais pour étourdir la nation par la foule ties pamphlets et par tout ce qui
pent tenir en action une population avi.de de oouvellts, line pent cachet
Ju monde combien la paix devient tens les jours plus indispensable i
l'ABgleteire.
Altisi) Messieurs, tout dans le présent nons garantit un avé oir acssi
heureox que pein do gloite et cet avenirnous en tronvons un gsge de
plus dans" cet enfant si déairé, qui enfin, accotdé i nos voeax, va per-
pétner la plus illustre dynastie,.dans cet enfant qui, an milieu des fêtes
done votre rèuuion semble faire partieregoit déjk avec le grand, Napo-
lion et avec l'augnste ptincessé qu'l! a tssociée a ses hautes destinies.
Je» hompoages d'amour et de respect de tons les penpieS de 1'emplre.
Riponse it M. It prisiient It M. It ministrt. it Cinliritur
et it MM. Its constillfs d'itac chargis it prisenttr I'ex.
posi it la situation it I'Rmpire,
messieurs! •-
Le corps législttif n't pu entendre sans un vif Intérêt f'exposé qne vons
venez de lui présenter de la situation prospéte de l'empire, et le reci:
fidéle de tout cc que le gouvéhicment corgott et exécute pour la sureté
le bónheur et la gloire de Péttt; jesqu'it présent noua svons pu admirer
ie génie capable h.It dais de fonder un grand Empire; et de lui donner
les arts et les lois qui doiyent le faire fl.urir; mais un spectre nouveau-
s'offre a nos vcoxsous voyons dtsparalue d'antiques et de fisnestcs ba:
tièrea qui s'opposaient anx relations des peoples.
Le commerce intérieur ne recontrera plus les obstacles qof. en soepen-
daient le cours,, erne sera pqint arrêté par de vaines inquiétades: la ri-
chesse nationale permettra- d-'entrtprepdre tout ce qui est gtapd et ntilé, ei
le zèle des gouvernement pourra devancer les besoins. des peoples.
Msis telle est lS destinée des plus généreuses entrcprisSsde ne répra-
dre tons leurs bienfaits qne dsns les générations futureset de n'étre tota-
lemeni acquittées que oar li reconnaissance de 1» postériré. Nos neVtux
verrokt le commerce aflfranchi des incertitudes de la politique., et sa for-
1 tune devenir indépendante de 1«.vicissitude des événement. Une comrée'
immense qui tenferme tons lés climats -et, taOt de ntt.ons ipdustrietis :-s
eat ouvette it son activité; ii Be craindra ni la jalotieie des peuplca vol-
sins, ni les ravages de la guetre; mtis en cïrculaut dans ses nomi reuses
provinces, ii aniinert tp'iites les. industrieset.trouvera dans son seis r«rti-
san et le consoramateur de roup aes produits; c'est -ponr ce grand objet
qne tant d'er.treprises aè forment er s'exécutent; les tónntagnes s'applanis-
sedt, les fleuves ne aont .plus aéparés dsns leurs cours, les distances se
iipprochentet de msgnifiques monument s'élevent pour célébrer eettc
memorable époque. Nos neveux étonnés tppreadroct qu'un mêsi'. régne
a vu ommencer et finlr ces 'ravaux prodigieux; et ai leur joaissance ne
doit ê'te mijés d'aucua sacrifice, nnna aitrons du moina l'avsntage d'avoir
partsgé rhonneur dc-css géoéreux efforts, et de nons être rendu égalemeot
dignes de la gloire 'de notre aiicle et de la reconnaissance de la postérité.
keu, zo als zy dit reeds gedaan h'fcbec. D'sdtnig ecb Vrede f| -rseeb
voor oozen Koophandel gtffswats ft-ik; /'e-elve fcr-ade Bogei i 'd en nog
aanbrenger die een vertier zou vreden voor zynen handel ta h'tt fyii-ma va*
het asre J zoude vetaadereu. Het onderpand ven den Vrede 1 in het
beftaAö onzer Vlóotêü en v»y oose
Wy zullen mt-t gerustheid den Vredt tB-fled hUfteè, als tt>y Mo Moie-
Schepen hebbenen is weerwil der bipdetplien Vc den Uorlog is J -il-mi
benlH
tff hui
bifflsnchè psssé, le 30 Join, S. M. HEmpereur, èt Èoi s denné iudiéa-
'cc, IU palais des Tnilerres, k S. Ex. M. le Due Del-Campo-d'Alang'e
Ambassadeur de S. M. le Rol d'Ëspagne, qui a préienté ses lettres de
eréance k S. M.
S. Ex. 1 été conduite k cette audience svec trols voitnres dc la cour,
psr un maicre et un aide de cérémonies, lntrodnite par S. Ex. le grand,
mtltre, et présentée k S. M. pst S. A. I. le Prince Vice.Rot d'Italie Archi-
Chancelier d'Etst.
S. Ex. M- 'e Es'on de LsgerbielkeMinistre Piénipotentfaire de S. M. le
Roi de Suede, a été ensnite conduit dans le cabinet de S. M. dank les for
mes secoutuméesintrodnlt par S. Ex. le grand.miltre des cérémonies, et
présenté par S. A. I. le Prince Archi-Chancdier d'Etat, et a présenté ses
Lettres de rappel a S. M.
Après ces sudiences, l'Emperenr, s'étsnt placé sur ion trêne, entonré dts
princes, des ministres, dés grinds-officiers de i'Empire, des officiers de sa
maison, des membres dn Sénat et de cenx du Conseil d'Etst, a re;u une dé-
patation du Corps-Législatif.
Cette dépnestion a été conduite k l'audience par un msltre et un alle d z
cérémonies, introdnite psr S. Ex. Is grand-maltreet présentée a S. M.
psr S. A. S. le Ptisce de Bénévent, vicè-grtnd-éiecteur.
8. Ex. M. Ie Comte de Montesqniou, président du Corps-Législatif, a
présenté a S. M. l'adresse suivante:
SIRE!
Vos fidèles snjets, les dépntés des dépsrtemens an corps.Iégislstif, ne
tturaient reprcadre lenr» ttavanx sant porter k V. M. nn nouveau tribnt de
leur fidélhé.
De grandes provinces réunies k cet Empire, des trivanx immenses entre-
ptis ponr sa pr-ospérité et ponr sa gloire, tons lés sart» occupés d'cmbelUr
cos villeset d'offrir anx campagnes de; moyens incoanu» tfe circulation e.t
d'abondance, sont les nouveaux bienfaits de V. M. envrrs ses peöples, et
lesobjets particuliers de uotre reconnaissance; «Dus simons k céi'brer de;
conqaêtet qni facilitent les rebtioaa des peupks publicés, et ranjèntnt le
commerce vats cette p'OpuhfloB intérfeüêe, source féconde de tous les échjta-
ges et dn tous les rroduits;
Au milieu de ces grandés entreprtsesl'ötdre et l'ibondsnce regneut dans
Is ttêsor - publicune ssgesse éclstrée recbé-che toot ce qui s'égiré, ét .fait
sortir des plas frivole» de nos besoios des richesscs toconnucs.
Quels ennemis de notre repos pourriient ttoubler cette heureuse harmo
nie! La religion, Sire, ne prétend k ancnn empire sur Is terre;'fjlie 4o
cicl, elle tejette tons lei droits éttangers k' sa sublime origine, et satis
hitede donner k l'obéissance uo csracière [lus suguste, elle ne veut être
indépendante que de nos Vi'ccs et de nos faiblesses.
L'Espagne fatiguée de ne servfr qne ia bsine At nos ennemisles abs'n-
domcra a lenrs vafna efforts; alors ah terminera cette Jutte sanglanje, ét
nous avona ponr gage de nós triomphes la parole ihfailjible de V. M,
SIRE, un aenl sentiment régne dans cet empire, et c'est votré bonijsur
qui lc fait naltre. Cet enfant auguateaccordé k nos vtjeux, et déjk le
pltis tendre objet de vos affections et de nos espérinces, potte dsns tcus
lts coeurs la tendresse donr le vfijré est pénétté. IIvient pour 'être le
'ttine hxuresx de nos destinéts, l'slmsble lien de tons les peoples de l'Em.
rite, le p>qmier né d'une nation qne vons svex comblée de gloire., et pour
hqnelle il tómsnde des setirimens tout patersels: qu'll croisse done pour
nitre bonhaur et ponr lc nötrc pour être l'héririer de voire génie, la
flnire du uopn E^nqais l'lmage vivsnte des vertus 'ae 'si mere, ponr jonir
del'amonr de ftoé neveux, ét leur rendrs tonte la tendresse que nous éprou
v°oi prés de soa berceau,
vertroosting, dat fs, dat zy nog veel wetscMsher'ih vói»W VySndeo dan
voor onsen welke pogingen bet Engel,cb Mir-iflerie ook ttcfc doen om 'de
Natte te verDhidcn door tene meetiigte van ScbprfchrifiCi en dAbf alles w,S
een Volk greeng naar nieow«ydingen kan gaande bonden kan het icefa
voor de Wsereld ntet verbetgen hoe zeer de Vrede vair dag tot dig ótont-
beerlyker voor Engeland word-,c. r
DusMyne Heeren alles varzèkert ons in het tegenwoordige etne even zo
gelokktge als ro.emryke .toekoptst; ca voor deze toekomst vinden wv eéa
wsstborg te meer inhetz» verlangde Kind, dar, aan or ze wenfehen gefchon-
ken, etndlyk het tllerltri?terrykfte<vors.tlTk Geflacht.zal Vereenwigen; in tras
Kina, hetwelk, te midden der Feesten waarvan uwe famenkomst een ge'deél.
Ït reeds mét den Grooten Nipöleon en de Doorlncbtiee
Vorftin.^ die by aan zyne hcogc beftemmingen verbonden heeft, de hnlde van
liefde ec eerbied van alle Volken des Ryks ontvangt.
jintwoori vahien Rtcfiient, aan itn Minister van tinnen-
'lan dj ebt faken en aan ie Stans Raden, belastbet
MVN n{*ïlziir d:n flaa'd" Ryhv°°T 'v -
Het WetMeevend Ligthaam heeft «iet zrtndtr ctne leveh^ige b^lMfèffeming
het ovfrzlg?, het tvelk gyl. hetzcl^en heht aangebodenmiif^tders bet ge*
trorwr verflag9 van illés^at het be^uar voor de veiligheid, den voorfpoed
en den foem van den. Staat ontwerpt en uitvoert, fcutrfeen'aaob'öoreo'j tot hiét
me b'eboen Wy de genie, die i.ö fla^t js ecu groot. Ryk te vestigen, en het ter®
IfJer fyd de Kunsten en We'thn te; fcheivken, welke hetzelve mrèten doen
bi oei jen, kunnen bewonderen; m«r een nieuw fChouwfpel doet zich voor
onze oogen r pwy zien oude en - noodlottige feberdsitrureo, die zich der
jetrekkiDgeu van de yolkeo ontkrüng tegrnfleldeD verdwyneu. 1
De binnenlandfcbe Handel zal geene' hioderptalendie den fóop daar van"
ft ie m den meer osdervicden, en j>.ai »iir me door ydele ongerustheid wor
den feeleutjc^rd ,f}e nsttoaale rykdom ztl '-rb* ftinin dat mt-n alies, wat gf.oot
enhntti^ is; onder necmïv dfe yv«r der benemen Zi\ tic behoeften dcr«
Volken kunnen voorkomen,» M. V- :J-
.'Matr ipdahi^ rs d - jlé' .rnui-Ing der ed&imdsdigfte oprlerfiè taing^fl dat ry
al)è hur.në Weldtfa. 11cVts over dê ro-Jkófnftige j? fiithtcp efprcid<»n dis
dar zy nietigeheel w.otóe^ bei s.q)pcl tiaadoor de crker>tes vanbet r-ai?efl*cht.
0«s ze Ninee ven zullen den Koopb^onel van alle onzekerheden der ftaaikuüde
bevry#, ca dsszelfsiöt vas de V7isf:-lv^"ligheid der ?rebci»reni; fen orai bankelyk
zien. Een onrZ2?gelyk Land, w-A^r ii» aUe l-trthrgeftèlebedèfr en zo vselfe
ovvere Volkev» 2ich bevinden.., is voordeszelfs viyt irsper- gcfte.^d ky zaln^cfe
dé uayver der oabusri^e Volken, uoch oe vè?wc^sttn^èn des ÖorJo?s rreerte
vreezftn hebben snaar Jn de talryke Provintienrondgaande z$l*h'y Allé uf®
verheids- wr-rk.ee beriéi^aen zal den vervaardiger en den gebrbiker vati alls
zvrse voortbricgfelen >i» 's Lands boezom vinoen; voor d*t grdot doel is betp
dat Zo. veelé ondefneerolngeD gevormd en uitgevoerd woff^ec; dè fgen Wor
de» jrelyk gemaakt', de Rivieren worden in hunnen byro^deren loop met mede
cefcbeideude afftandeo worden verkort ten prachtige Gedeeaftukfeen wor«
den opgerichtom dat gedeokwaardig tydftip te vieren. Onze verwohacrdh
Naoeeven zullen vernsemen, dat in eencenkele Regeering die werken begon-
t>ou én voleindigd zyn; .eóindien bèt genor daar van met gefcne O; offering
vait hunnen kant moet vefzëld zvn, zoUeö wy tra minsten b^t voordtgl heb
ben asm de toe die edele pogingen te hebben toegebraat,S deela^bfig.
zyn en dit wy ons dea 'roem pazcr w en de erkentenis der nakomeling*
febnp gèlykel^k zolleh beBben Waardig getnaakt i-
Voorleden Zondag deo 30 Jnny he&fr i. yi^'dc Keiéêf en Koning, in het
Paleis der Xnilenen, audiëntie verleend Zyne R*c; den Heer Hertog
Del Campo.fti*Alange^ Ambasfarfeur van Z. TVI. den Koning yïd Spaajfen^
welke zyne Geloofsbrieven 9*n Zyne Majt. overhandigd heeftn'
Zyne E^c. is tbr dezer audiëntie opgeleid geweest met drié Rynuigen vti^
iiétHoJf, door een Ceremonie-Meester eo AdjnnA inreléid door Z. Exc. deijr
Gi :ot-Meeptcf<, en aan Z. ML- voorgefteld door Zyne Kcfzerl. h Ovgheïd d«a
T*r-ns ;:Ö&der* Koning van ïc&3lgn Aért» CancHiér-van Staat. n'
Zyne Exc. de Baron von LagerbiclkeGevolmagrigd Minister van Zl ftf-
den Koning van# wee den, is yéfvblgens met de ewoone gebfuiklykhedeo
fp b.ct Cabinet va« Z. M.; door Z/rè Rké. den Grootmeester der Ceremrtifta
inge'-eid, dóór Zyne Ke«zerl. Hoogheid den Prir's Aarts*C*ö?edier van
aan Z. M. y^orgcfteld, en beeft aan Hoogs1 dezelve zyne EriüVfn via terug-
roeping overhandigd. ,'f
Na deze rud^entiëo, heeft de Keizer, fich op zynen troon geóltifst heb^
bende, omringt van'de Pricsfien Minister, de Groot-Of&cieren dé4
Ryks, d? Officieren rsn hoogstdes^elfs Huis, de Lede# van den Sfatit* en
die vmden Sttat.s - Róid «ene Deputatie ontvangen' vafl het Wetgeevend
Ligchaam. 'c V?* -
Cezi depntatië is ter andiehtle opgeleid door een Ceremonie-Meestér e®
Adjuiift', singeleid door Zyn« Bxu. then Groot-Mees.têy, én-aan Zyne Mijt.
voor^eftöèl dóór Z. d. H. den Prins van Beneveurv Vi*«-G<-ootvrKiézer.
Zyne ÈJtce)). de H^r Graaf de Möotesq jiqn pretfleet van het Vï^gevend
Ligchaam'Tiecft'n Z. M. het volgend Adres aiflgebodën.
s i r el - -
Uwe getrouwe Onéerdsoentfe ifïevairdlgden dét Depsrtetneitreo vsA IfC
Wellevend Llsphsttu kooneo htititfen arbeid niet brfvsttcn stUoten» tó.
epBe nieuwe brtirte vsti ttuiine «trouwheid te koinea bewyjeo.
Groote ProWutlen, roet dk Ryk vereenied', oo'Zsgfelyke wtrten vosi
'sRyk-veotfppod en rocüt ondernomen, »l!e kunftei.beaigóm onïc Steden
te vcifl'»en én onee Vcldeu nieuwe middelen v»n omloop co «vervloed te
heeorgtn, eie 4»»r nieawe Weldïdeu vin M, jeg»n3 iyne Volken, en by-
xonderr.' voorwerpen onïdt érkbóientshet is ons een genoegenveroveringen
te verbreiden, die de berstkkióeen der befcb»»fne;Voftén gemikkefyk in«-
ken., enden bintietdie vruchtbire bron via «11e ruilingen en voórtbréogfê-
'enmeer en meer ni»r d^ bin.re'nlan4fcbe btvlklng te lokken.
Te midden dier' groote ondef n'eüiiogert heerfchen órde Sn overvloed in de'pn-
blieke Schatkist; «ené vèrlichle wvshéidfpoott él war Verdóald is op; en dost
nieuwe ry.kdommen uit'de onbeteeïftaendfte o'nser behoeften Vnortf'iruiten.
Welke vyindeo vin on»e rast Zouden die gelukkige z»rnenftemmingkunnen
verftorenl Oe góüidienst, Sire zoekt geen Ryk blér. Óp *wdedochter des
hemels z.ynde yèrwerpt zy slle regten die huren verbeven öorfprong
vrqemd zyn, envergenoegd met een doorluchtiger karakter isn de gehoor-
zumheid te geven wil zy niet omfhiitktlyk lyn, din vqn oaie ondeugden
«n vir onze: zwakheden.
Spiaje, afgémit van Hechts den hsit onzer wytiidén te dienen-, gal beii asis
honne ydele pogingen overlasten; dan zal die bloedige kamp - flryd ophots»
den en wy hebben Bet onfeilbaar woord vin V. M. tot waarborg onzer
trlumfen. f
SIRE, «en!eenig gevoel heerscht in dit Ryk, en hW gcitsk !s 'hér, dat;
hetzelve dp;t ontdaan, Dar doorluchtig Eind» hetwelk aan onze wecfcheci
gefebonketr isen dat reeds bet reder voorwerp uWer gefti'eds.aindoer ingeef
c- eóze hoop uitmaakt, dat Kind verwekt in alter h»rt»n die t'dfrh dwaar'
van hef uwe reeds doordrongeu i;. Het is iekotrtncm htfgetnkkig uit-,
einde van ooit betlemm'ngen de bèminnelyke Land van allé de Vólken vac
'her Ryk, en' de eerstge^ro-ené te zyn vin éen Volkhetwelk gy met roénr
hebt overdekten voor hetwelk hetzelve vaderiyke gevoelens'vórdert; dat
het dan voor uw geluk en voor bat onze opgroeije-, ten einde her wórde, ds'
erfgenaam van uwe genie, de roem des Franfchen naamtf, herlevebWig evtn'i'
beeld der deugden zyner móéder, óp dat het de liefde onzer naneven genie
ten, en bun alle de tederheid, die wy by zynen wieg gercelen, wiug ishe'ft-
icu moge.
