GUERISON DES MALADIES CHRONIQUES. ELECTRO-VOLTAIQUE Maladie de poitrine. ftlaladie de coeur. Maladie d'estomae. Gastralgle. Gastralgle et bronchite. Gastrlte. Affection nerveuse. Astlime. Naladfe de la peau et surdité. Paralysie. JMaladle du Fole. Tumeur blanche, datant de 6 ans. Epilepsie. Sciatique. Surdité. L'électricité joue un röle três-important dans la nature, elle est indispen sable a l'équilibre de I'éconoraie animale; aussitöt qu'elle se retire d'ane partie du corpscette partie reste frappe'e de mort. L'électricité est un des agents les plus précieux de la médecineet le seul remède dans certains casson efficacité a été longtemps contestéeruais les résultats obtenus par ce moyen ont été si féconds, que par l'organe d'un de ses membres les plus éminentsl'Institut a du reconnaitre que les applications qui en avaient été faites en médecine méritaient mieux que tout autre le prix de 50,000 francs institué pour récom- penser la meillenre application de l'électricité. Mais l'absence d'appareils, dégageant des courants èlectriques assez puissants pour agir sur ['économieet qui en même temps fussent construit de fa?on que les malades pussent les porter constamment sur eux sans fatigue et sans embarras, et sans être obligés d'interrompre leurs occupations habituelles s'opposait a ce que le public fut appelé a jouir des bienfaits de ce mode .de traitement. Notre appareil électrique portatif et facileraent déguisablesous toute espèce de vêtement dégage des courants électriqeus dont Taction lente et insensible, mais continue, rend aux organes leur vigueur, active la circulation du sang. Le malade, quand il en fait usage depuis quelque temps, sent la force et l'appétit revenir; le sang circule plus facilement et le bien- être se fait sentir dans tout le corps. Nons citons ici des extraits de quelques-unes des nombreuses let tres de malades qui, ayant suivi en vain divers» traitementsse sont soumis a l'application de l'appareil électro voltaïque. M. Delmas, charon a Capendu (Aude), «Monsieur, la malade se trouve beaucoup mieux, les jambes nelui font plus mal, etc." Madame Nectoux-Ropin, a Aluze (Saone-et-Loire). «Je me fais un plaisir d'attester que vous avez apporté une grande amélioration dans mon état." M. Calmels, instituteur a Terreclapier (Tarn). Je suis heureux de pouvoir vous annoncer que votre appareil gal- vanique a produit un grand résultat sur la santé de ma femme, sa toux et sa suffocation ont disparu." M. Rambez, a Perrigny (Jura). J'ai l'honneur de vous annoncer avec un vif sentiment de joie et de reconnaissance ma guérison compléte et solide." M. Cugnottet, a Froidevaux (Doubs). «Depuis que je fais usage de l'appareil électrique, je me sens bien soulagé du corps, je ne souffre pas, etc." M. Vasseur, curé, a Saint-Aubin (Oise). «J'ai la satisfaction de vous annoncer que votre malade, M. Her sent, se trouve bien, mieux, l'appareii électrique a produit les meilleurs résultats. L'appétit, le sommeil et les forces ont reparu." M. Duclos, a Rennes (Iile-et-Vilaine). «Monsieur, J'ai l'honneur de vous écrire pour vous faire connaitre que je me trouve bien mieux. M. Derousseau, employé des douanes, h Condé. L'appétit et les forces sont revenus, je suis beaucoup mieux." M. Treissier, négociant, a Aiguesmortes (Gard). «L'appareil galvanique produit un trés-bon effet, etc." M. Jaquetmaire a Sept Seaux (Marne). II y a moins d'oppressionla toux a beaucoup diminué, le corps va mieux, les batteraents de coeur sont beaucoup moins forts, etc." Mademoiselle Royera Villers-au-Bois (Marne). «Monsieur, je vous écris pour vous donner des nouvelles de ma santé, je trouve un mieux sensible." M. Marié, a Gargenville (Seine-et-Oise). La douleur au coeur a disparu." M. Creicisa Plancher-Bas (Haute-Saone). «Je vous écris pour vous faire connaitre ma position, je me trouve en parfaite santé." M. Marais a Chenu (Sarthe). «Monsieur, depuis que je fais usage de l'appareil électrique, je me trouve beaucoup mieux, etc." Mademoislle Constance Hadot, a Dizy (Marne). «Je n'éprouve plus de douleurs d'estomae ni de tiraillementsenfin je suis mieux." M. Delorrae, pharmacien a Saint-Dizier (Haute-Marne). Le sieur Thévenard Guyon me charge de vous écrire, son estomac est plus Iibre, la digestion plus facile et ses forces reviennent, l'ap plication de l'appareil électrique a produit un mieux prononcé, etc." M. Guéry, h Saint-Gemme (Marne), pour sa femme, malade depuis neuf ans. La malade se trouve bien améliorée dans sa position les vomisse- ments sont bien moins fréquents elle est plus animée, les digestions se font plus facilement, etc." M. Delessue, poulanger a Herzelrouck. «Monsieur, je continue d'aller de mieux en mieux, je ne sens plus de douleurs d'estomae." M. Brunet instituteur aux Sables (Var). Je m'empresse de vous informer que je me trouve parfaitemeut bien je ne ressens plus aucune douleur, etc." M. Vernièresa Montolon (Hautes-Pyrénées), L'estomac se dégage de plus en plus." M. Bernier, a Byarne (Jura). Le tiraillement que je ressentais dans le creux de l'estomae et le malaise que j'éprouvais entre les deux e'paules ont presque entièrement disparu, il ne reste que trés-peu de chose. J'ai bon appétit, la diges tion se fait très-bien." M. l'abbé Collina Saint-Dizier (Hauts-Marne). Je me trouve mieux." M. Wranger, instituteur a Obermichelbach (Haut-Rhin). «Mon état s'améliore peua peu, l'estomac fonctionne bien et j'ai bon appétit, je me sens plus fort a poitrine, j'ai la respiration légère je ne tousse presque plus, je peux saus fatigue faire mes six heures de classe chaque jour avec quatre-vingt éléves. Ma femme est presque entièrement rétablie. M. l'abbé Marion a Faverois, (Haut-Rhin). Aussitót après la réception de votre lettrej'ai mis en usage l'appareil électrique; a partir de ce moment mon état s'est amélioré. M. Laglaisefabricant a Bagnères (Hautes-Pyrénées). «J'ai regu votre appareil électrique, depuis que je me le suis ap- pliqué, je me suis trouvé bien, car lorsque j'ai été vous trouver ja ne pouvais marcher qu'avec peineet de suite, cette faiblesse de jambes m'a passé, mes nerfs ne sont plus agitésetc." M. Thiebaut, négociant, a Pont-a-Mousson. Je suis content de votre traitement. Voila bien 2 ans que je n'avais pas été aussi bien. Mile Baudroit, a Seloncourt (Doubs). «Monsieur, j'ai fait usage de votre appareil électrique, je m'en trouve trés contente. Grfice vous je ne suis plus bolteuse." M. Vallois, fabricant, a Chaudun (Aisue). «Monsieur, je vous donne des nouvelles de ma famme, sa jambe prend de la force de jour en jour." M. Pichon-Vital, a Dole (Jura). «Je suis trés-content de l'appareil galvanique, je me trouve beau coup soulagé, ma position est bien meilleure, etc. M. Saunier, maire, h, Vrigny (Ome). «Monsieur, je fais usage de l'appareil électrique que vous m'avee envoyé, je me trouve bien soulagé, je mange bienje dors bien, etc." M. Keirelmeunier a Ghyvelde (Nord). «Si j'ai tardé a vous donner de, mes nouvelles, je puis vous en don ner de bonnes, j'entends maintenant sonner l'horloge. La dartre de la joue gauche et les boutons ont disparu. M. Rambauda Belgentier (Var), Ma femme se trouve mieux, elle commence a pouvoir marcher sans l'aide du bfiton. M. Bousqueta St-Antonin (Gers). Monsieur, depuis que ma femme fait usage de votre apparail élec trique, elle se trouve beaucoup mieux, ou plutot elle va tres-bien, etc M. Descombes a Chérend (Nord). Je vous écris pour vour informer de l'effet qu'a produit l'appareil galvanique, je me trouve mieux, l'appétit est revenu, je me sens sou lagé; chaque fois que l'on a placé l'appareil, je sentais le sang circuler mieux et je n'ai pas souffert, je suis trés-content. M. Braun a Mulhouse. «Tous les symptómes dont je me plaignais depuis si longtemps ont disparu; ancun signe d'attaque ne s'ést reproduit. Je suis heureux de vous exprimer mes sentiments de reconnaissance. Madame Dane, négociante, a Rennes. «J'ai le bonheur de vous annoncer que mon fils va toujours de mieux en mieux, il n'a plus eu aucune attaqueil se propose d'aller lui-mêrae, prochainement, vous remercier, a Paris. M. Mouchet, Adjoint au Maire, a Brugnens (Gers). Monsieur, j'ai re?u l'appareil électrique que vous qvez eu la bonté de m'envoyer, le malade va mieux, les convultions sont rares et moins fortes. M. Pronier, a Jussy (Aisne). «Je ne ressens presque plus la douleur que j'avais dans la jambe droite." M. Turennea Durbans (Lot). «J'ai d'honneur de vous annoncer que ma surdité a presque entière ment disparu."

Historische Kranten, Erfgoed Leiden en Omstreken

Leidsch Dagblad | 1864 | | pagina 3